BRAVO POUR LES AMERICAINS. UNEXEMPLE A SUIVRE POUR LES NATIONAUX ET LES PSEUDO NATIONALISTES DE LA 24 HEURE EN ALGERIE???
Les gaz de schiste : une réalité aux États-Unis, une éventualité ...
Les prix du brut ont baissé de manière spectaculaire et perdu environ 30 % depuis juin, pour s'établir actuellement aux alentours de 70 dollars le baril. Pour Christine Lagarde, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), "il y aura des gagnants et des perdants mais, sur une base nette, c'est une bonne nouvelle pour l'économie mondiale".Les prix du brut ont baissé de manière spectaculaire et perdu environ 30 % depuis juin, pour s'établir actuellement aux alentours de 70 dollars le baril. Pour Christine Lagarde, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), "il y aura des gagnants et des perdants mais, sur une base nette, c'est une bonne nouvelle pour l'économie mondiale".
es Etats-Unis appliquent la loi du marché. L'automobiliste américain paye le litre d'essence à un équivalent de 40 centimes d'euros du fait de la très faible taxation de l'essence. L'Européen lui est à 1,40 euros/l du fait des taxes qui amortissent à la hausse comme à la baisse les cours du brut Mais en Europe on reste loin du compte. Pour l'instant, l'automobiliste américain est donc gagnant, et de loin.
Par ailleurs, en maintenant sa surproduction gazière avec des prix bas, les Etats-Unis font tourner à plein leur économie, créent des emplois. Le reste n'est que conséquence et effet d'aubaine sur la scène internationale. Les conséquences à long terme ne les dérangent pas. La politique étrangère pour les Etats-Unis, c'est comme le dollar, ils font ce qu'ils veulent pour servir leurs intérêts immédiats, sans trop se poser de questions sur les effets à long terme ou des bouleversements géopolitiques occasionné
es Etats-Unis appliquent la loi du marché. L'automobiliste américain paye le litre d'essence à un équivalent de 40 centimes d'euros du fait de la très faible taxation de l'essence. L'Européen lui est à 1,40 euros/l du fait des taxes qui amortissent à la hausse comme à la baisse les cours du brut Mais en Europe on reste loin du compte. Pour l'instant, l'automobiliste américain est donc gagnant, et de loin.
Par ailleurs, en maintenant sa surproduction gazière avec des prix bas, les Etats-Unis font tourner à plein leur économie, créent des emplois. Le reste n'est que conséquence et effet d'aubaine sur la scène internationale. Les conséquences à long terme ne les dérangent pas. La politique étrangère pour les Etats-Unis, c'est comme le dollar, ils font ce qu'ils veulent pour servir leurs intérêts immédiats, sans trop se poser de questions sur les effets à long terme ou des bouleversements géopolitiques occasionné
s'agit dans l'immédiat de mettre en valeur leurs ressources, leurs entreprises et leur main-d'œuvre pour valoriser ce potentiel énergétique, pour sortir de la crise, faire baisser le chômage tout en renforçant la compétitivité de leurs entreprises. Leurs impératifs sont avant tout intérieurs. La géopolitique pour eux est relativement secondaire. Mais si les conséquences de leur politique présentent de surcroit un effet d'aubaine, c'est parfait. Grâce à leur production de pétrole de schiste, ils suralimentent le marché et les autres payent les conséquences. Le but, reprendre la main sur leur compétitivité qui passe par leur industrie lourde qui tourne aux énergies fossiles. Quand on leur demande des réductions de leurs émissions de CO2, ils n'ont qu'à basculer du charbon vers le gaz et exporter le surplus de charbon (meilleur marché) vers l'Europe, dont l'Allemagne. La République fédérale ayant engagé trop vite sa transition énergétique, elle fait tourner à plein ces centrales au charbon.
Les Etats-Unis parviennent jusqu'à présent à tirer coûte que coûte leur économie vers le haut, dans un marché pétrolier surapprovisionné,
DE CHRYSANTHEME EN CHRYSANTHEME? LA CHUTE DU PRIX DU PETROLE A 40 DOLLARS? PLACE AUX COMPETENCES ET AUX INTEGRESPOUR SAUVER L ALGERIE...
Les cours du pétrole connaissent une nouvelle journée de baisse, sur fond de peurs concernant un ralentissement de l'économie mondiale et de la demande de pétrole (Photo Karen Bleier/AFP/Archives)
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Lundi 15 décembre 2014, 22h13
Les cours du pétrole ont connu lundi une nouvelle journée de baisse, sur fond de peurs concernant un ralentissement de l'économie mondiale et de la demande de pétrole, entraînant une chute des Bourses européennes et un recul de Wall Street.
Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier a clôturé à 61,06 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 79 cents par rapport à la clôture de vendredi, terminant à son plus bas depuis début juillet 2009.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en janvier a perdu 1,90 dollar pour s'établir à 55,91 dollars. La référence américaine du brut a atteint lundi son plus bas niveau depuis le 6 mai 2009, à 55,18 dollars.
Les cours du pétrole ont connu un bref répit lundi en début d'échanges européens, aidés par l'annonce de la fermeture des terminaux pétroliers d'Al-Sedra et Ras Lanouf en Libye, d'après des analystes. Mais les fondamentaux du marché demeurent baissiers, et les cours restent plombés par une offre surabondante et une croissance de la demande faible.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a prévu vendredi une croissance de la demande plus timide qu'escompté en 2015. La consommation de pétrole devrait croître de 900.000 barils par jour l'an prochain pour atteindre 93,3 millions de barils par jour (mbj), contre 93,6 mbj comme anticipé précédemment, à cause d'attentes moindres concernant la demande venant des pays de l'ex-Union soviétique et d'autres pays exportateurs de pétrole.
La baisse des prix autour des 60 dollars le baril est clairement positive pour l'économie globale, selon les analystes de Capital Economics.
En effet, "l'augmentation potentielle de la demande devrait être une raison importante du rééquilibrage des prix", continuaient-ils. La Chine profite d'ailleurs déjà de cette baisse des prix pour renflouer ses stocks stratégiques de pétrole brut.
"Mais les marchés réalisent qu'une des raisons derrière la chute rapide des cours est le ralentissement de la demande globale", constatait Jasper Lawler de CMC Markets. Selon des experts, le fait même que les prix du pétrole chutent constituerait le signal d'un ralentissement de l'économie mondiale.
La surabondance de l'offre va également continuer de tirer les prix de l'or noir vers le bas à court et moyen terme, alors que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) campe sur sa position de ne pas intervenir sur les marchés pétroliers après avoir conservé son objectif de production inchangé à 30 mbj lors de la dernière réunion du cartel.
Même si, lors d'une conférence à Dubaï dimanche, le secrétaire général de l'Opep Abdallah al-Badri a défendu la stratégie de l'organisation, estimant que l'écart entre l'offre et la demande n'expliquait pas l'effondrement des cours.
"Nous voulons connaître les raisons réelles qui ont conduit à une telle chute des cours du brut", a ajouté le secrétaire général du cartel. Si la chute se poursuit, selon M. Badri, cela signifiera que "la spéculation contribue fortement à pousser les prix à la baisse".
Le ministre de l'Energie des Émirats Arabes Unis, Suhail al-Mazrouei, est allé plus loin, lors de cette même réunion, en disant que l'Opep pourrait encaisser une baisse des prix jusqu'à 40 dollars le baril, selon les analystes de Commerzbank.
Le ministre a également souligné ne pas envisager de réunion extraordinaire du cartel avant trois mois, toujours selon Commerzbank.
"En déclarant que le cartel est prêt à supporter un prix du baril à 40 dollars, un nouvel objectif a été donné explicitement aux investisseurs. Le point bas du marché n’est donc pas encore atteint", notait Christopher Dembik, analyste chez Saxo Banque.
ALGERIE.Le Profit avant l'homme????
Les médias constituent un système qui sert à communiquer des messages et des symboles à la population. Ils ont vocation à distraire, amuser, informer, et à inculquer aux individus les croyances et codes comportementaux qui les intégreront aux structures sociales au sens large. Dans un monde où les richesses sont fortement concentrées et où les intérêts de classe entrent en conflit, accomplir cette intégration nécessite une propagande systématique. Une modélisation de la propagande se focalise sur la prodigieuse inégalité dans la capacité de contrôle des moyens de production ; et ce qu'elle implique tant du point de vue de l'accès à un système de médias privés que de leurs choix et fonctionnements. Le modèle permet de reconstituer par quels processus le pouvoir et l'argent sélectionnent les informations.
"Le contrôle idéologique est beaucoup plus important dans les démocraties que dans les Etats où la domination se fonde sur la violence, et il y est par conséquent plus raffiné et plus efficace. Pour ceux qui recherchent obstinément la liberté, il ne peut y avoir de tâche plus urgente que d'arriver à comprendre les mécanismes et les méthodes de l'endoctrinement. Ce sont des choses faciles à saisir dans les sociétés totalitaires, mais elles le sont beaucoup moins dans le système de "lavage de cerveau sous régime de liberté" auquel nous sommes soumis et que nous servons trop souvent en tant qu'instruments consentants ou inconscients."
sous couvert de divers paravents (organisation mondiale du commerce, otan, etc.) le capitalisme, en particulier américain, est en train d imposer au monde une véritable tyrannie, qui non seulement empiète sur la souveraineté des Etats, mais sur celle des individus eux-mêmes.
Depuis l'effondrement des régimes communistes, le dogme néo-libéral est le pavillon sous lequel les Etats-Unis, imités par la majorité des pays occidentaux, ont décidé de défendre leurs intérêts stratégiques. Ils n'ont certes pas abandonné l'emploi de la force - les dépenses militaires américaines n'ont jamais été aussi élevées qu'aujourd'hui -, mais les deux grands mots d'ordre de ce que l'on appelle la " mondialisation " - " moins d'Etat " et " liberté des marchés " - sont désormais leurs armes privilégiées pour assurer leur domination sur le reste du monde. Pourtant, Noam Chomsky souligne à quel point la réalité du néo-libéralisme actuel tourne le dos aux principes du libéralisme " classique ". La compétition est truquée et les pays riches, en position de force, recourent à toutes sortes de mesures qui sont autant de violations déguisées de la liberté des marchés qu'ils prétendent défendre. Documents à l'appui, il analyse le mépris aristocratique du néo-libéralisme pour la multitude des " gens ordinaires " et pour l'idée d'égalité
Le développement de la culture de masse a entraîné l'érosion des formes autonomes de culture populaire et la dissolution des liens sociaux au profit d'un monde artificiel d'individus isolés, fondement de la société de consommation. Le capitalisme ne peut donc être réduit à un système d'exploitation économique, il représente un "fait social total".II ne tient que sur l'intériorisation d'un imaginaire et grâce au développement d'une culture du divertissement permanent. Cette uniformisation des comportements et des aspirations se présente comme l'affranchissement de toutes les contraintes (sociales, spatiales, temporelles, etc.). Survalorisée et triomphante, la culture de masse (séries américaines, nouvelles technologies, football, jeux vidéos, etc.) trouve des défenseurs même chez les intellectuels dits contestataires. Il est donc urgent et nécessaire de mener une critique intransigeante du mode de vie capitaliste et de démontrer comment notre civilisation du loisir participe de la domestication des peuples.
La misère dans le monde et Vous. l'évolution et l'avenir de l'animal humain,,,,
La misère
Comment expliquer la distribution inégale des richesses dans les différentes régions du monde ? Pourquoi un Occidental dispose t-il d'un niveau de vie aussi élevé comparé à celui d'un habitant de la Nouvelle Guinée ? Réfutant toute explication de type biologique, l'auteur considère que le milieu géographique est déterminant. Mobilisant les apports de la génétique, de la biologie, de la linguistique et de l'histoire des techniques, il s'attache à remonter aux "causes lointaines" en refaisant l'histoire de l'humanité depuis 13 000 ans ! Le facteur décisif est la capacité à accroître la production alimentaire. Cela passe par l'abandon de la chasse et de la cueillette au profit de l'agriculture et de l'élevage et donc la domestication des espèces animales et végétales. Ainsi les zèbres ou les kangourous n'ont pu être aussi utiles aux hommes que les vaches ! Plus de nourriture favorisera l'invention de l'écriture et de nouvelles techniques, l'éradication des maladies infectieuses et la constitution d'une bureaucratie, donc le développement.
Au rythme actuel de la croissance démographique, et particulièrement de l'augmentation des besoins économiques, de santé et en énergie, les sociétés contemporaines pourront-elles survivre demain? La réponse se construit à partir d'un tour du monde dans l'espace et dans le temps - depuis les sociétés disparues du passé ( les îles de Pâques, de Pitcairn et d'Henderson; les Indiens mimbres et anasazis du sud-ouest des États-Unis; les sociétés moche et inca; les colonies vikings du Groenland ) jusqu'aux sociétés fragilisées d'aujourd'hui ( Rwanda, Haïti et Saint-Domingue, la Chine, le Montana et l'Australie ) en passant par les sociétés qui surent, à un moment donné, enrayer leur effondrement ( la Nouvelle-Guinée, Tikopia et le Japon de l'ère Tokugawa )
Plusieurs facteurs, au nombre de cinq, entrent toujours potentiellement en jeu : des dommages environnementaux ; un changement climatique ; des voisins hostiles ; des rapports de dépendance avec des partenaires commerciaux ; les réponses apportées par une société, selon ses valeurs propres, à ces problèmes. Cette complexité des facteurs permet de croire qu'il n'y a rien d'inéluctable aujourd'hui dans la course accélérée à la dégradation globalisée de l'environnement.
L'homme partage plus de 98 % de ses gènes avec le chimpanzé pygmée et le chimpanzé commun. On en mesure habituellement peu les implications. Le langage, l'art, la technique et l'agriculture - qui distinguent ce "troisième chimpanzé" - sont le fruit d'une évolution non pas seulement anatomique, mais également comportementale : le faible nombre de petits par portée, les soins parentaux bien au-delà du sevrage, la vie en couple, l'espérance de vie, la ménopause particularisent le cycle vital de l'homme. À quel stade le troisième chimpanzé fit-il le saut quantique en matière de réussite évolutive, avec l'acquisition de l'aptitude au langage, il y a moins de cent mille ans? Depuis lors l'animal humain déploie tous ses traits particuliers - notamment son aptitude unique à détruire massivement son genre et les écosystèmes, à ruiner la base même de sa propre alimentation. Génocide et holocauste écologique posent désormais la question cruciale de l'extinction de l'espèce humaine, à l'instar de milliards d'autres espèces disparues au cours de l'histoire de l'évolution.
LA MISERE DANS LE MONDE...
La misère dans le monde et Vous.
SEKHRI.A :;LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES.: CHU DE CONSTANTINE ALGERIE
... Diagnostic des Infections Sexuellement Transmissibles ( C.I.D.D.I.S.T
Les IST sont des infections sexuellement transmissibles.
Les Infections Sexuellement Transmissibles sont des maladies dont les agents responsables (virus, bactéries, parasites…) peuvent se transmettre au cours de relations sexuelles. Elles regroupent des infections très différentes dans leurs symptômes, les complications qu’elles peuvent entraîner et les traitements disponibles. Les IST les plus connues sont le VIH/Sida, les hépatites B et C, l’herpès, la blennorragie gonococcique, les chlamydioses, la syphilis et les papillomavirus.
Les IST les plus connues sont le VIH/Sida, les hépatites B et C, l’herpès, la blennorragie gonococcique, les chlamydioses, la syphilis et les papillomavirus.
Depuis quelques années le nombre de personnes atteintes d’infections sexuellement transmissibles augmente, notamment pour les blennoragies et infections à chlamydiae.
Herpès, blennorragie gonococcique, chlamydioses, syphilis ou papillomavirus, les signes de ces infections sexuellement transmissibles peuvent être peu visibles, voire absents. La transmission peut donc se faire à l’insu des personnes infectées,ce qui justifie la mise en œuvre d’un dépistage précoce.
La plupart de ces IST se soignent facilement. Non traitées, elles peuvent néanmoins entraîner de graves complications.
Ainsi, une infection à chlamydiae non traitée peut entraîner stérilité et grossesses extra-utérines, alors que son traitement est court et efficace. La gonococcie est également susceptible de provoquer des infections génitales hautes (utérus et trompes) si elle n’est pas bien soignée.
La présence d’une IST, même bénigne, favorise la transmission du VIH.
Consulter le site Info-ist
- La prévention
La prévention des IST, dans tout type de relations sexuelles, repose sur :
- un dépistage régulier des IST comme du VIH lorsqu’on a plusieurs partenaires et à chaque fois que l’on souhaite arrêter le préservatif avec un nouveau partenaire régulier
Enfin, lorsqu’on découvre qu’on est infecté par une IST, il est important de respecter la durée du traitement prescrit par le médecin et de prévenir son ou ses partenaires afin qu’ils puissent également se faire dépister et traiter le cas échéant.
- Le dépistage
Les tests de dépistage peuvent être prescrits par le médecin traitant, le gynécologue, le dermato-vénérologue en ville ou effectués dans les consultations de dépistage anonyme et gratuit (CDAG), les centres d’information de dépistage et de diagnostic des IST (CIDDIST), les centres d’interruption volontaire de grossesse (IVG), et les centres de planification ou d’éducation familiale (CPEF).
Compte tenu de la fréquence de l’infection à chlamydiae, le dépistage de cette infection est recommandé chez toutes les femmes de moins de 25 ans et tous les hommes de moins de 30 ans. Le dépistage de la syphilis fait également l’objet de recommandations particulières chez les hommes ayant
des rapports sexuels avec des hommes, les migrants, les personnes prostituées et leurs clients et les personnes détenues.
Chlamydia sexuellement transmissible
What can be expected from the cytologic examination of cervicovaginal smears for the diagnosis of Chlamydia trachomatis infections?
Abstract
The value of Papanicolaou-stained smears for the diagnosis of chlamydial infections is still disputed. A comparative examination of smears from infected and uninfected women has allowed the proposal of a new scheme for the interpretation of the cytologic abnormalities associated with chlamydial infection. In particular, the appearances of metaplastic cells were classified, and two smear types were found to have the highest sensitivities and positive predictive values: smears in which the metaplastic cells had (1) intracytoplasmic vacuoles containing polymorphonuclear leukocytes or (2) numerous small intracytoplasmic vacuoles containing a central eosinophilic granule. The sensitivity of this method is low, however; cytology cannot replace bacteriologic identification for the diagnosis of chlamydial infections. Nevertheless, the examination of Papanicolaou-stained smears could be considered as a screening tool in low-risk populations; provided that all of the cytologic features were considered, presumptive diagnoses of chlamydial infections could be obtained.
- PMID:
- 3201874
- [PubMed - indexed for MEDLINE]
-
Genitourin Med. Apr 1993; 69(2): 126–129.PMCID: PMC1195045
The management of patients with inflammatory smear results in general practice.
Abstract
OBJECT--To ascertain the management of inflammatory smear results by general practitioners. DESIGN--Postal questionnaire survey. SUBJECTS--All 200 general practitioners on Wirral Family Health Services Authority list as principals in 1990 and 1991. MAIN OUTCOME MEASURES--Answers to questions covering a variety of aspects concerning the management of inflammatory smear results in general practice. RESULTS--One hundred and thirteen (57%) replied. Ninety per cent have facilities to test for Trichomonas vaginalis and Candida albicans. Sixty eight per cent were able to test for Chlamydia trachomatis. A high vaginal swab (HVS) was the commonest swab taken (88%); 31% of doctors included a swab for Chlamydia trachomatis. Of doctors who gave treatment without microbiological confirmation 74% gave metronidazole and 64% gave tetracycline or erythromycin. Eighty five per cent repeat smears are undertaken within three months. Ninety seven per cent of doctors said more detailed information would be helpful on the cytology report. One hundred per cent of doctors referred to a gynaecologist of colposcopy was advised. Male sexual partners were advised to attend the Department of Genitourinary Medicine by 12% of doctors (70% do not refer to either their general practitioner or genitourinary department). CONCLUSION--Most patients with inflammatory smear results are managed by their general practitioner without reference to specialist services. Many patients are not investigated for infection but treatment often includes medication which covers the most likely or potentially serious genital pathogens. More detailed advice given with the cytology report on further management or a local protocol would be helpful to aid management in this difficult area. If recommendations for referral of certain groups of patients to genitourinary departments were implemented the present workload of the department would be increased.
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Selected References
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L’erreur de calcul,,,,Le capitalisme a-t-il un avenir ?
"
Les déclarations d'amour marquent rarement un tournant historique, mais nos annales retiendront sans doute le "J'aime l'entreprise" lancé par un éphémère Premier ministre au Medef un jour d'août 2014. Les cris du coeur ont leur ambiguïté. Celui-ci est à longue portée. Comment l'interpréter au juste
Le monde a changé et il n'est pas plus injuste qu'avant. La différence est qu'avant, des pays ridicules comme la France et l'Angleterre, terrorisaient les gens chez eux en Afrique, en Asie et en Arabie. L'Algérie n'est plus française Monsieur Debray. François Mitterrand est mort et nous a laissé un héritage lourd de pseudo-intellectuels aigris car le monde ne tourne plus autour d'eux. Je pense à tous les chiens corrompus qui habitaient sa cour: un ramassis d'adultères, pédophiles, ... Oui les chinois viennent en France tout acheter, et en Angleterre aussi. Et alors ? Vous avez oublié l'Indochine monsieur Debray ? Le temps a tourné depuis et heureusement. L'empire colonial n'est plus et c'est tant mieux. Vous voulez savoir ce que le blanc faisait aux nègres en Afrique ? Lisez le maître de tous, sa majesté Louis Ferdinand Céline.
On a souvent dit qu'il était plus facile de penser la fi n du monde que celle du capitalisme. Pourtant, ce système présente aujourd'hui des signes de rupture qui permettent d'en anticiper le déclin imminent, et ce en recourant non pas au prophétisme, mais beaucoup plus simplement aux sciences sociales
On a souvent dit qu'il était plus facile de penser la fi n du monde que celle du capitalisme. Pourtant, ce système présente aujourd'hui des signes de rupture qui permettent d'en anticiper le déclin imminent, et ce en recourant non pas au prophétisme, mais beaucoup plus simplement aux sciences sociales. C'est ce que démontrent ici cinq des plus éminents chercheurs internationaux. Dans une langue qu'ils ont voulue accessible à tous, s'appuyant sur des idées fortes de Marx, Braudel ou Weber, ils explorent une série de tendances " lourdes " des sociétés contemporaines, telles que l'approfondissement des crises économiques et écologiques, le déclin probable des classes moyennes, les contradictions et désarticulations du système politique international ou encore les problèmes d'externalisation des coûts sociaux et environnementaux liés au fonctionnement du capitalisme mondial. Ils tirent également les enseignements historiques et sociologiques de la chute du bloc soviétique et des mutations actuelles de la Chine. Pour cette pléiade d'universitaires prestigieux, les limites internes et externes de l'expansion du " système-monde " capitaliste sont sur le point d'être atteintes. Face à son déclin accéléré et multidimensionnel, il est urgent de penser sérieusement à ce qui peut et devrait lui succéder. Cela exige de réfl échir d'un même tenant aux conséquences traumatiques du mode de production et d'échanges actuel et aux alternatives susceptibles d'émerger dans les décennies qui viennent
les industries de l ignorance,,,
Entendant analyser les processus de création et d’entretien de l’obscurantisme, il découvre bientôt que certains acteurs influents de la vie collective sont des spécialistes du brouillage scientifique… et que ces fabricants d’ignorance remportent de nombreux combats.
En novembre 1998, après plusieurs années de poursuites intentées par quarante-six Etats des Etats-Unis contre des géants du tabac, un accord est conclu. En échange de contreparties financières et réglementaires, les cigarettiers acceptent de confier leurs archives à l’American Legacy Foundation. Parmi ces dizaines de millions de pages, des documents tenus secrets (rapports, blocs-notes) deviennent accessibles aux journalistes et aux chercheurs. Proctor s’en est servi pour enquêter sur les immenses moyens déployés pour que la nocivité de ces activités apparaisse le plus tard possible. En février 2012, après de multiples procès intentés par les industriels du tabac, qui cherchent à consulter ses travaux avant parution, il publie un ouvrage, qui vient d’être traduit en français (1). On y découvre l’énormité des mensonges et l’ampleur de l’influence des fabricants dans les médias, les domaines scientifiques et culturels. Ainsi, tout fut fait pour qu’au cinéma le geste du fumeur apparaisse comme un moment de liberté et non comme la promesse d’un cancer futur.
Ces archives s’avèrent également une mine d’informations pour Stéphane Foucart, journaliste scientifique au Monde, naguère célébré ou contesté pour ses attaques virulentes contre le « populisme climatique » incarné selon lui par M. Claude Allègre. Dans un livre paru l’année dernière et qui vient d’être réédité (2), il détaille comment les industriels de l’amiante, de la chimie ou de l’agroalimentaire ont rapidement imité et accompagné leurs collègues cigarettiers : publication de recherches biaisées sur le cancer, financement de travaux climato-sceptiques, dénigrement des chercheurs signalant les dangers des perturbateurs endocriniens, aides en tout genre pour des études qui évitent soigneusement de parler des effets des pesticides… Les méthodes sont variées, mais l’objectif est toujours le même : fausser le débat démocratique en introduisant toujours plus d’éléments de doute dans le processus de décision.
Cette obstination des industriels dans la dissimulation mènera-t-elle à l’effondrement de notre civilisation ? Dans un petit ouvrage (3), à mi-chemin entre l’essai et la science-fiction, Erik Conway et Naomi Oreskes imaginent l’analyse qu’un historien chinois du futur pourrait faire de notre inaction devant les changements climatiques. A partir de nombreuses situations actuelles (et de quelques événements inventés par les auteurs), l’observateur est catégorique : nous savions, mais le déni et l’aveuglement (aidés par le système de marché et la dépendance aux énergies fossiles) nous ont désarmés.
Quelques années plus tôt, Conway et Oreskes avaient déjà souligné la cécité volontaire des conservateurs américains. Idéologiquement opposés à toute intervention de l’Etat, de nombreux représentants du Parti républicain ont rejeté les résultats scientifiques pouvant venir à l’appui de réglementations écologiques. Leur distraction favorite consistait à comparer les environnementalistes à des pastèques : verts au-dehors et rouges au-dedans. Dans leurs discours, ils ne valident les résultats scientifiques qu’à l’aune de leur utilité politique : il y aurait d’un côté la « science solide » utile aux industriels et de l’autre la junk science, aux résultats idéologiquement dangereux. L’ignorance a de beaux jours devant elle.
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