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What can be expected from the cytologic examination of ... de A Sekhri faculte de medecine et chude constantine,ALGERIE

La première consultation gynéco: pourquoi? à quel âge? avec qui? de quoi s'agit-il?

 

La première consultation gynéco : pourquoi ?

Même si cette consultation est purement informative, cela n’empêche pas le médecin d’établir un registre médical complet (règles, régime alimentaire, maladies infantiles, vaccin, poids, taille, acné, antécédents familiaux...).

Toutes les informations divulguées durant cette consultation sont couvertes, au même titre que les autres consultations médicales, par le secret médical et ne seront dévoilées qu’avec le consentement de la personne concernée.

Durant cette consultation, le médecin pourra être amené, à travers ses questions et/ou l’examen physique, à dépister une maladie génitale et la traiter.

Première consultation gynéco : à quel âge ? Avec qui ?

Il n’y a pas de règle concernant l’âge de la première consultation gynéco ; elle se fait parfois à partir des premières règles et parfois vers l’âge de quinze- seize ans.
La jeune fille n’est pas obligée de se faire accompagner par une personne adulte (parent ou autre) d’autant plus que, lorsqu’elle est seule, les questions intimes deviennent plus faciles à poser et le rapport de confiance est plus facile à établir.

Cependant, au cas où elle se ferait accompagner par quelqu’un, le médecin précisera, dès le début, qu’un temps de la consultation pourra être consacré à l’ado en privé.

A noter que la consultation gynéco, comme toute autre consultation médicale, est couverte par le secret médical.

Première consultation gynéco : examen physique

La discussion est l’étape la plus importante lors d’une première consultation gynéco, l’examen gynéco n’étant pas indispensable à moins que la jeune fille ne présente un problème nécessitant un tel examen.

Cet examen n’est pas non plus nécessaire pour se faire prescrire une pilule contraceptive.
Quand il est nécessaire, l’examen gynéco est simple, rapide (quelques minutes) et ne fait pas mal.
Cet examen n’endommage pas l’hymen d’une jeune fille vierge. Son objectif est de vérifier la bonne constitution des organes génitaux et de déceler une éventuelle infection génitale qui sera alors traitée.

 

Le cancer du col de l’utérus est-il fréquent ?
C’est le deuxième cancer mortel chez la femme après le cancer du sein .
Dans le monde , une femme en meurt toutes les deux minutes .

Le col de l’utérus est la partie inférieure de l’utérus qui est en contact avec le vagin .
Le cancer du col de l’utérus est causé par un virus sexuellement transmissible , le « Human Papilloma Virus » ou HPV d’un type particulier , dit à haut risque ( cancérigène ) .

Quels sont les facteurs de risque du cancer du col de l’utérus ?

Le facteur de risque majeur est la persistance d’une infection par le HPV , type cancérigène .
Cette infection sexuellement transmissible est très courante et elle touche presque la moitié des femmes sexuellement actives .
L’infection peut être attrapée dès les premiers rapports ou flirts , même sans pénétration .

Fort heureusement , la majorité des femmes éliminent le virus dans un délai de 12 mois en moyenne .
Cependant , certaines restent infectées pendant des mois , voire des années .

Parmi les facteurs qui entraînent une persistance de l’infection , on note :
  • Le tabac .
  • La précocité des relations sexuelles .
  • Les relations sexuelles multiples .
  • Les partenaires à haut risque ( partenaires multiples , relations sexuelles non protégées , homosexualité , … ) .
  • La présence d’autres infections sexuellement transmissibles .
Comment une jeune fille peut-elle savoir si elle est infectée par le HPV ?

Par la pratique du frottis cervico-vaginal ( FCV ) , examen facile et rapide pratiqué dans le cabinet du médecin .

D’ailleurs , les lésions au niveau du col de l’utérus ne donnent aucun signe clinique . Elles ne sont pas douloureuses et ne provoquent pas de saignement .
Aucun signe d’alerte ne laisse présager de ces lésions . Les symptômes n’apparaissent qu’au stade de cancer avancé .



Le dépistage du cancer du col de l’utérus par le FCV est recommandé annuellement pour toutes les femmes ayant des relations sexuelles .
Ce dépistage permet d’identifier des lésions précancéreuses dont le traitement permet d’éviter qu’elles n’évoluent en cancer

What can be expected from the cytologic examination of cervicovaginal smears for the diagnosis of Chlamydia trachomatis infections?

Source

Laboratories of Histology, Faculty of Medicine, Louis Pasteur University, Strasbourg, France.et faculty of Medecine, and chu , CONSANTINE, ALGERIE

Abstract

The value of Papanicolaou-stained smears for the diagnosis of chlamydial infections is still disputed. A comparative examination of smears from infected and uninfected women has allowed the proposal of a new scheme for the interpretation of the cytologic abnormalities associated with chlamydial infection. In particular, the appearances of metaplastic cells were classified, and two smear types were found to have the highest sensitivities and positive predictive values: smears in which the metaplastic cells had (1) intracytoplasmic vacuoles containing polymorphonuclear leukocytes or (2) numerous small intracytoplasmic vacuoles containing a central eosinophilic granule. The sensitivity of this method is low, however; cytology cannot replace bacteriologic identification for the diagnosis of chlamydial infections. Nevertheless, the examination of Papanicolaou-stained smears could be considered as a screening tool in low-risk populations; provided that all of the cytologic features were considered, presumptive diagnoses of chlamydial infections could be obtained.

PMID:
3201874
[PubMed - indexed for MEDLINE]

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Laboratory techniques for the diagnosis of chlamydial infections.

  1. D Taylor-Robinson,
  2. B J Thomas

+ Author Affiliations

  1. Division of Sexually Transmitted Diseases, Clinical Research Centre, Middlesex, UK.

Abstract

Yolk-sac inoculation of embryonated eggs was superseded 25 years ago by the use of cell cultures (often McCoy) for the isolation of Chlamydia trachomatis. Centrifugation of specimens onto the cell monolayers was shown to increase sensitivity, but little of late has further improved sensitivity which is at least ten-fold greater than that of eggs. However, culture is slow and labour intensive so that non-cultural techniques without these drawbacks have come to dominate. Direct fluorescent antibody (DFA) tests are rapid and have sensitivities that range from 70% to 100% for men and 68% to 100% for women, and specificities that range from 87% to 99% for men and 82% to 100% for women; if the tests are read by competent observers the values are at the top end of the ranges. The detection rate may be enhanced even further by relatively low-speed centrifugation of specimens before staining. Skilled reading is not a feature of enzyme immunoassays (EIAs) which according to the literature have sensitivities that range from 62% to 97% for men and 64% to 100% for women, and specificities that range from 92% to 100% for men and 89% to 100% for women. However, comparison against poor reference tests is responsible for most of the higher values and the clinician should not be misled into believing that EIAs have excellent sensitivity; the lower values in the ranges are closer to reality. Furthermore, EIAs that are being designed for use by general practitioners should be regarded with the greatest caution since lack of sensitivity means that chlamydia-positive patients will go undetected. The polymerase chain reaction (PCR) is not bedevilled by insensitivity but it is no more sensitive than the most sensitive cell culture or DFA tests. PCR is unsuitable for routine diagnosis but has a place as a research tool. For men, examination of "first-catch" urine samples by the best of the non-cultural procedures provides an acceptable non-invasive approach to diagnosis; for women, the value of examining urine may be less, but needs to be thoroughly tested. However, there is little doubt that a Cytobrush used to obtain cervical specimens holds no practical advantage over a swab. Serological tests are reliant on the provision of paired sera for making a diagnosis; high antibody titres in single sera may be suggestive of an aetiological association in deep-seated chlamydial infections (epididymitis, arthritis, salpingitis, etc), but unequivocal interpretation is unusual, particularly in an individual case, since the distinction between a current and past infection is problematical.

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  1. What can be expected from the cytologic examination of ...

    de A Sekhri - Cité 6 fois - Autres articles
    What can be expected from the cytologic examination of cervicovaginal smears for the diagnosis of Chlamydia trachomatis infections? Sekhri A, Le Faou AE, ...
    www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/3201874
  2. Significance of a Diagnosis of Microorganisms on Pap Smear ...

    de VA Fitzhugh - 2008 - Cité 5 fois - Autres articles
    Confirmation of Chlamydia trachomatis infection by direct ... Sekhri A, LeFaou AE, Tardieu JC, Antz M, Fabre M. What can be expected from the cytologic ...
  3. Detection of Chlamydia Trachomatis in papanicolaou-stained ...

    de C Ghirardini - 1991 - Cité 1 fois - Autres articles
    Confirmation of Chlamydia trachomatis infection by direct immunotluorescence using monoclonal antibodies. JAMA 1985;. 253:997-1000. 18. Sekhri A, Le Faou AE ...
    onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/dc.2840070221/pdf
  4. The management of patients with inflammatory smear results in ...

    de CM Bates - 1993 - Cité 2 fois - Autres articles
    Sixty eight per cent were able to test for Chlamydia trachomatis. ... [PubMed]; Sekhri A, Le Faou AE, Tardieu JC, Antz M, Fabre M. What can be expected from ...
  5. Laboratory techniques for the diagnosis of chlamydial infections

    de D Taylor-Robinson - 1991 - Cité 72 fois - Autres articles
    31 Sekhri A, Le Faou AE, Tardieu JC, Antz M, be expected from the cytologic examination of smears for the diagnosis of Chlamydia trachomatis infections? ...
    sti.bmj.com/content/67/3/256.full.pdf
  6. Laboratory techniques for the diagnosis of chlamydial infections.

    de D Taylor-Robinson - 1991 - Cité 72 fois - Autres articles
    [PubMed]; Sekhri A, Le Faou AE, Tardieu JC, Antz M, Fabre M. What can be ..... Enzyme immunoassay for the detection of Chlamydia trachomatis antigen in ...
  7. [PDF]

    The detection of genital tract infection by Papanicolaou-stained tests

    Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Afficher
    de A McMillan - 2006 - Cité 4 fois - Autres articles
    Genital tract infection with Chlamydia trachomatis is common, with a prevalence of up to 12% amongst .... Sekhri A, Le Faou AE, Tardieu JC, Antz M, Fabre M. ...
    www.laboratoriosilesia.com/upfiles/sibi/GI030743.pdf
  8. Inflammatory signs in wet smear and Pap-smear compared with the ...

    de GÜR Vural - 1995 - Cité 4 fois - Autres articles
    Specific changes in Chlamydia trachomatis,. Cundida albicans, Neisseria gonorrhoeae and Trich- ..... Sekhri A, Le Faou AE, Tardieu JC, Antz M, Fabre M. ...
    informahealthcare.com/doi/pdf/10.3109/00016349509024408
  9. The detection of genital tract infection by Papanicolaou-stained ...

    de A McMillan - 2006 - Cité 4 fois - Autres articles
    27 Nov 2006 ... Genital tract infection with Chlamydia trachomatis is common, ..... Sekhri A, Le Faou AE, Tardieu JC, Antz M, Fabre M. What can be expected ...

    "Flairer" le cancer dans l'haleine des patients. C'est l'idée de chercheurs du Technion, l'Institut de technologie d'Israël qui ont développé un prototype de "nano-nez artificiel". Celui-ci fonctionne en analysant la composition de l'haleine des patients à la recherche de marqueurs chimiques bien précis. Ainsi, il permettrait de dépister de manière beaucoup plus précoce des cancers de la tête et du cou ou du poumon, difficiles à détecter. Déjà testé sur 80 volontaires, l'appareil a semblé faire ses preuves.

    Publiés dans le British Journal of Cancer, les résultats de l'étude se sont en effet révélés plutôt concluants. Parmi les 80 patients, 22 souffraient déjà de différents cancers de la tête et du cou et 24 de cancers du poumon alors que les 36 autres étaient sains. Au cours du test, le "nez artificiel" s'est alors révélé capable de détecter les volontaires atteints de cancer. "Nous avons montré qu'un simple "test d'haleine" peut repérer des modèles de molécules que l'on trouve chez des patients souffrant de cancer de la tête et du cou, dans une petite et première étude", a expliqué le Pr Hossam Haick, chercheur principal cité par la BBC.

    Néanmoins, le capteur reste pour l'instant à l'état de prototype. Ainsi, les scientifiques ont estimé qu'il faudrait plusieurs années avant que le "nez artificiel" soit réellement utilisé dans le diagnostic de ces cancers. Pourtant, ceux-ci ont souligné l'importance d'un tel dépistage : "Il y a un besoin urgent de développer de nouvelles manières de détecter les cancers du cou et de la tête parce que le diagnostic de la maladie est compliqué et requiert des examens spécialisés", a expliqué le Pr Haick. Désormais, les chercheurs espèrent donc tester ces résultats au cours d'études plus importantes afin de savoir si la méthode est réellement fiable.



21/04/2011
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