votez , votez ,ainsi soit t il......IL FONS SEMBLANT DE GOUVERNER ? FAISONS SEMBLANT DE VOTER....
une education nationale catastrophique.
un systeme de sante obsolete
la corruption bat son plein
la haine , la violence regnent par tout
les memes analphabetes regnent depuis cinquante ans et ne peuvent pas comprendre que le monde a change et il changera.
meme le sport n echappe pas non pas a la violence mais a la mal - vie des jeunes qui n ont rien pour s epanouir .
quant aux infrastructures , et aux stastiques fausses du chomage merci le pptix du petrole et le gaz
d autant plus que l algerie n est l heritage du pere de personne.
quant a l information et les journalistes qui l assument a la radio tele etc ...ils depassent de loin ceux et celles dude 1962 par leur incompetence et sur tout ils jouent bien le role que le pouvoir ne leur a jamais demande de jouer aux mercenaires et d etre plus royalistes que le roi.
mais ily a des journalististes qui n ont pas compris que le nationalisme ne rapporte plus le seul dieu que connaissent les algeriens et les algeriennes est l argent .
quant a alle a la mosquee ou hadj ou a la homra on peut tromper son vis a vis mais personne bn est dupe devant l hypocrisie dela majorite des algeriens et des algeriennes.
sinon le nombre des mosquees a augmente de maniere effarante alors que la societe est plus malade( sida, prostitution non controlee medicalement, drogue , violence , agressivite sur les routes , villes et villages morts a partir de 19 heures etc...) qu avant 1962.
on parle de cinema alors que la majorite des salles sont fermees et de culture ca fait rire.
on parle meme de culture islamique quelle erreur , il n y a pas de culture islamique mais une civilisation islamique.
parce la culture c est tout ce qui est singulier et seculier donc generique propre a chaque pays.
par contre la civilisation c est tout ce qui est acquis pendant des siecles e t transmis a d autres ,bref tout ce qui est generalisable.
si on parle aujourd'hui de printemps arabes à propos des révolutions du Maghreb et du Proche Orient, c'est aussi parce qu'elles font écho à cette vision. On parle moins de panarabisme, peut-être différemment de l'Islam mais on retrouve dans les entretiens de Nasser, de Nouir Said, des rois hachémites ou du roi Saoud des valeurs fondamentales qui animent encore la rue ou comme les rais.
arbi Adoul, un jeune âgé de moins de 21ans, habite le douar calme d’Ouled Hamou, commune Khair-Eddine, wilaya de Mostaganem. Il a quitté les bancs de l’école dès la première année secondaire. Il a travaillé chez un particulier au centre de la commune de Khair-Eddine.
Il a rêvé d’atteindre l’autre rive de la méditerranée et embarqué de Mostaganem, été 2007, dans la partie Est de ce littorale qui est devenue un point de transit et d’embarquement des jeunes Haragas qui cherchent le Paradis, pour le prix de 8 millions de centimes.
Cette nuit, la mer était calme et le voyage a duré 9 heures. L’organisateur du voyage a conseillé aux jeunes Haragas de prendre des bières et du vin pour affronter leur peur et les vagues de la mer.
Une fois arrivé et par crainte que la police Espagnole ne le rattrape, le jeune Larbi s’est refugié dans la plus proche forêt et c’est là qu’il a trouvé un autre monde de Haragas, y compris des filles prisonnières dans cette forêt. Parmi ces personnes, il y a celles qui osent entrer en ville dans une heure tardive de la nuit, pour chercher dans les poubelles de quoi se nourrir ou pour voler, sans hésitation, la première chose qui leur tombe sous les yeux.
La police Espagnole l’a arrêté dans une cabine téléphonique alors qu’il tentait d’appeler son cousin en France pour venir à sa rescousse. Il a été conduit au poste de police et y est resté trois jours, avant que le Consul d’Algérie ne lui remette un document de transit qui prouve son identité, et l’a renvoyé par avion à Oran.
Ce Haraga a révélé que plus de 200 dépouilles de Haragas algériens sont entassées dans une morgue à Almeria. Elles n’ont pas été identifiées faute de papiers.
De la part des auteurs se présentant comme modernes, on pouvait attendre rigueur et courage. On n'a malheureusement, dans ce livre, ni l'une ni l'autre. C'est particulièrement regrettable, dans ce tome 2, quand il est question des tribus musulmanes et juives de Yathrib. Dans les sources historiques, dans Ibn Ishaq notamment, "Muhammad", tome 2, p.192, le massacre des Banû Quraydha est raconté crûment, Mahomet donnant l'ordre de creuser des fosses dans le marché de Médine et faisant décapiter sous ses yeux les 600 à 700 Juifs par groupes. Ce récit est largement repris par les historiens modernes, par exemple Maxime Rodinson, "Mahomet", p. 247 : "Mahomet fit creuser de grandes fosses dans le marché de Médine. On y mena les Juifs ligotés par paquets, on les décapita un à un au bord des fosses et on les y jeta. Ils étaient 600 à 700 disent les uns, 800 à 900 disent les autres." Dans ce tome 2 de Mahmoud Hussein, le récit du massacre lui-même est simplement passé sous silence (on saute tout bonnement de l'avant à l'après), aucun chiffre n'est donné sur le nombre de Juifs tués. Il est par contre précisé, en entête de chapitre et sans donner la moindre source, p.347 : "Les seigneurs juifs meurent dignement"! Les lecteurs apprécieront l'importance, ainsi soulignée, de mourir dignement.
Certes, les auteurs, tous deux politologues, ne se prétendent pas historiens. Ils expliquent, dans l'introduction de ce tome 2, la façon dont ils ont travaillé. Ils ne font aucune mention, dans ces explications, de la Sîra de référence d'Ibn Ishaq, dont la comparaison détaillée avec leur texte montre qu'ils l'ont fort peu utilisée au total, se contentant d'en reprendre, sans le dire clairement, tel ou tel passage. Ils reprennent, par exemple, p.47, le pacte très connu sous le nom impropre de "Charte de Médine" (Ibn Ishaq, "Muhammad", tome 1, pp.407-410), mais ils en suppriment sans la moindre justification la liste des 8 tribus (et clans) musulmanes, et ils enlèvent sans prévenir toute la seconde moitié du texte, qui concerne les tribus juives et dans laquelle figure la liste des 7 tribus (et clans) juives. Ils reconnaissent, p.8, pour fabriquer leur texte, avoir "regroupé les informations éparses" tirées des Chroniques, choisi la version qui leur "a paru faire la synthèse la plus probante" (sic), opéré eux-mêmes, "dans certains cas", "la synthèse de plusieurs de ces versions" et "mis les fragments retenus bout à bout" (sic). Mais, après une telle réécriture de l'histoire, gommant complètement tout ce qui pourrait paraître gênant pour mettre une apologétique insipide à la place, il ne reste plus de la Sîra qu'un conte de fée.
Sur 713 pages de texte, pas une seule date n'est donnée nulle part, même pas en note : les auteurs se sont notamment permis de supprimer toutes les dates données par Ibn Ishaq dans son texte. Rendre parfaitement intemporel un texte sensé être de l'histoire montre à quel point ce livre n'en relève pas. En guise de sources, contrairement aux usages, le livre ne donne qu'une liste d'ouvrages utilisés (pp.715-716), ôtant toute possibilité de savoir dans quelle source tel passage a été puisé, pour quelle raison, et pourquoi telle autre source a été rejetée : on ne trouvera pas la moindre note, dans le texte, sur la source utilisée, hormis des initiales pour de très rares citations. Lecteurs sérieux s'abstenir. La Sîra d'Ibn Ishaq, la vraie, est éditée intégralement sous le titre "Muhammad", en deux volumes (tome 1, 654 pages, ISBN 2841611531 ; tome 2, 608 pages, ISBN 284161154X), aux éditions Al Bouraq, dans une traduction en français signée Abdurrahmân Badawi, accompagnée d'une introduction de 15 pages sur les sources et d'un appareil très complet de notes (28 septembre 2001). Problème d'honnêteté intellectuelle : l'ouvrage de Mahmoud Hussein, bien que publié largement après (12 mars 2008), est muet (notamment dans sa bibliographie p.729) sur l'existence de cette traduction en français du livre de référence d'Ibn Ishaq.
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 9 autres membres