UN DESTIN COMMUN POUR UN AVENIR MEILLEUR

QUI ARRETERA LE SYSTEME POLITIQUE EN ALGERIE ???le pouvoir des impuissants

corruption dans le monde l algerie au bas du tabl

  • La corruption en Afrique: un frein au développement

    La corruption en Afrique: un frein au développement

  • ... la corruption continue de faire des ravages dans le monde et touche 

    ..

 Derrière une apparence de normalisation ", vous avez installé le règne de la peur, du mensonge et de la corruption à tous les niveaux. Vous assurez la ruine du pays en étouffant la création et en voulant, à terme, abolir toute mémoire collective, toute vie sociale autonome pour régner sur un peuple anesthésié et une société désintégrée. Cela, nous le refusons et j appelle en conséquence nos concitoyens à revendiquer les droits de la conscience morale individuelle, à refuser le mensonge, à restaurer la responsabilité personnelle et la parole publique. Tel est le sens du combat pour  L'intégrité individuelle et le maintien de l'identité collective sont à ce prix.C'est aussi à aux Occidentaux, qu on s'adresse l. Il nous aide à connaître la réalité de la situation de son pays. Il démontre les risques, vus de  l occident

, de nos ignorances et de nos naïvetés (un certain pacifisme). IPouvoir et violence
Le pouvoir a toujours besoin de s'appuyer sur la force du nombre tandis que la violence peut s'en passer. `Tous contre un' est la forme extrême du pouvoir, alors que celle de la violence est `un contre tous'.
Les instruments de la violence ont atteint un tel point de perfection qu'il est devenu impossible de concevoir un but politique susceptible de correspondre à leur puissance destructrice. Ainsi, les affrontements guerriers qui avaient constitué l'arbitre suprême et impitoyable des conflits internationaux ont perdu une bonne part de leur efficacité.

Gouvernement et violence
Quand la légalité et la constitutionalité sont gravement menacées par l'influence croissante des services secrets sur la conduite des affaires publiques, par des menaces ouvertes contre les libertés fondamentales ou encore par des défis à l'ordre juridique, la violence contre le gouvernement en place peut être justifiée.

 

Gus,  tu n’as pas connu cette époque, mais il y a à peine une génération, la planète était  divisée bien nettement en deux  grands types de régime politique.  Des pays, moins nombreux,  pouvaient être dits démocratiques  dans le sens où on l’entend habituellement, et les autres étaient sous le joug de dictateurs  ou de partis qui se maintenaient  au pouvoir sans s’assurer de l’accord  de la population.

 

 Ces derniers régimes florissaient particulièrement en Amérique latine, en  Asie, en Europe  de l’Est et en Afrique…  La seule manière qu’on avait de résoudre les crises, semble-t-il ,  était d’établir  ou de soutenir. une dictature. Ne pas oublier  que c’était au bon vieux temps de la guerre froide… qui a  été la première victime du réchauffement planétaire.  Aujourd’hui quelques pays  qu’on pourrait qualifier de totalitaires  correspondent  encore aux définition que l’on en donne ici et font figure de dinosaures, bien réels cependant,    dans le paysage politique…

 

Gus, ne conclus pas que les dictatures sont toujours honnies,  détestées :  signes des temps…  au milieu du siècle dernier,   certains dictateurs,  les plus habiles, ont réussi  à développer un véritable culte  autour de leur personne : ce fut l’ère des « sauveurs de peuple »… attendus et annoncés par bien des philosophes ou penseurs attitrés.

 

Gus, a propos de ces messies, tu peux toujours aller revoir la belle galerie de  spécimens  du 20ième siècle que Bof a déjà préparée.  Tu pourras même afficher  tes connaissances de l’histoire  récente si tu es le moindrement  physionomiste.

 

 

 

 

Gus, la démocratie relève du grand art  et tente constamment de relever le défi  de toute société** : comment faire vivre ensemble une communauté souvent de plusieurs millions d’individus ? Comment aménager toutes ces libertés  pour permettre à chacun de tirer le maximum  de la vie en société, dans sa vie familiale, personnelle et professionnelle ?

Comment calibrer la part de sacrifices ou de concessions à la collectivité en vue du bien commun et les bénéfices qu’un chacun peut tirer de sa vie en société ?

Comment concilier le tout et la partie, les exigences de l’un et de l’autre?

 

« La démocratie trouve des solutions approximatives à des problèmes insolubles »

 

«La capacité de l’homme pour la justice rend la démocratie possible, mais l’inclination de l’homme pour l’injustice rend la démocratie nécessaire »

 Reinhiold Niebuhr

 

**LES DÉFIS DE LA VIE EN SOCIÉTÉ

 

fabriquer des consensus à partir des  divisions que la nature,  la vie,  la vie en commun ne cessent  d’engendrer.

 

 faire régner une paix, la moins  fragile possible, entre ennemis potentiels,

 

 croire en l’homme, mais pas trop,  calibrer pessimisme et optimisme,

 

 faire prévaloir un bien commun minimal sur  la multiplicité des égoïsmes,

 

endiguer le mal à défaut de le détruire  par crainte du pire,

 

 

 croire en  principe à ce que Bof aime appeler

 

  la Sainte Trinité politique :

 

établir une fraternité minimale pour concilier liberté et égalité,

 

(liberté ou égalité, ces  deux valeurs  ont  braqué les populations du vingtième siècle les unes contre les autres.)

 

Quelques points de vue :

Le droit « c’est l’ensemble des conditions qui permettent à la liberté de chacun de s’accorder avec la liberté de tous » Kant

 

« L’État n’est que la muselière dont le but est de rendre inoffensive cette bête carnassière, l’homme, et de faire en sorte qu’il ait l’aspect d’un herbivore » Schopenhauer 

 

« La cohésion sociale est due en grande partie à la nécessité pour une société de se défendre contre d'autres. C’est d’abord contre les autres hommes qu’on aime les hommes avec lesquels on vit » Bergson

 

« Le plus grand secret de complicité entre bolchevisme et fascisme reste pourtant l’existence de cet adversaire commun, que les deux doctrines ennemies réduisent ou exorcisent par l’idée qu’il est à l’agonie, et qui pourtant constitue leur terreau : tout simplement la démocratie »39 F. Furet

 

UNE EUPHORIE BIEN TEMPÉRÉE :

 

« La démocratie est haïssable, elle contredit les penchants les plus spontanés de l’être humain à écraser, dominer ou asservir les autres. ...Deux défauts : pour le réactionnaire, en prônant l’égalité elle élève l’inférieur et rabaisse le supérieur, met l’opinion du citoyen éclairé à parité avec celle du malheureux et donne à ce dernier des armes pour refuser son sort; pour le révolutionnaire, elle est dangereuse, car elle prive les hommes de l’espoir d’en finir une fois pour toutes avec l’injustice; en leur demandant de respecter  la légalité et le verdict des urnes, elle promet beaucoup et ne cesse de retarder l’accomplissement de ces promesses. »

 Bruckner. La mélancolie démocratique. Comment vivre sans ennemis? Du seuil 1990

 

Mai 2008. Amnistie internationale… après 6 décennies de relevés…

 

Progrès mais….la torture est encore pratiquée dans 81 pays, des procès qui ne respectent pas les mesures élémentaires d’équité dans 54 pays, impossibilité de s’exprimer librement dans 77 pays.

 

 

 

 

1. fondement du pouvoir

 

DÉMOCRATIE LIBÉRALE

 

principe de

la souveraineté populaire.

 

Il  repose sur la conviction que tous les hommes sont égaux en droit et qu’aucun n’a un droit naturel (ou surnaturel)  de s’imposer comme autorité civile sans le consentement des subordonnés. Le détenteur du pouvoir est le peuple et ne peuvent l’exercer en son nom que ceux à qui le peuple le délègue.

 

La démocratie peut être directe… Dans une petite communauté tous les citoyens ont part à la prise de décision qui devient  loi ou obligation pour tous…

 

Plus pratique, dans les plus grandes communautés, on s’en remet à la démocratie indirecte. Le pouvoir s’exerce par des délégués (des députés)  qui ont fonction particulière de gouverner….  Et le reste  de la population peut vaquer à  ses occupations quitte à dédommager ceux qui exercent le pouvoir… etc.

 

« La démocratie, le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » Lincoln

 

« La démocratie substitue l’élection par une majorité incompétente à la désignation par une minorité corrompue » George Bernard shaw

 

 « La démocratie est bonne. Je dis cela parce que tous les autres sont pires » Nehru

 

« La démocratie n’est pas une manière de gouverner mais avant tout une manière de déterminer qui doit gouverner. » R.  Mac Iver

 

« la démocratie est un mécanisme qui nous assure que nous ne serons pas mieux gouvernés que nous ne le méritons » G.B.  Shaw

 

DICTATURE

 

Le pouvoir personnel

 

Une personne ou un groupe s’impose comme autorité civile sans le consentement explicite et vérifié de la population.

 

Tout dictateur « prétend » répondre au vœu profond de la population. Cela peut être vrai. Cela peut être faux. D’où la nécessité d’une vérification, c'est-à-dire d’une confirmation par une consultation populaire après le recours à la force prétendument justifié.

 

Les justifications sont multiples, des plus honnêtes  (renverser un tyran,  etc) aux plus vicieuses (le goût du pouvoir, la défense d’intérêts corporatifs plus ou moins légitimes, etc)

 

La dictature du peuple : On peut aussi prétendre avoir un droit moral  à implanter une dictature,  la dictature « du peuple »  pour établir enfin la vraie démocratie.  La révolution française  qui a renversé la monarchie ne fut en somme qu’une révolution « bourgeoise »,  l’étape ultime  et le couronnement  de l’intention première sera enfin la vraie démocratie, celle du peuple.

L’état n’a été jusqu’à maintenant qu’un instrument d’exploitation au service d’une certaine classe.

Le suffrage universel n’est qu’un « suçon » pour mieux camoufler hypocritement  cette exploitation.

Il ne sert à rien de parler de liberté au plan politique  (les libertés formelles) si on est dépossédé des moyens (le pouvoir économique) de l’exercer.

 

Le vrai peuple a donc un droit moral de se servir de la force, s’il le faut, pour renverser un système inique et injuste. C’est l’unique moyen à sa disposition pour instaurer la « dictature du prolétariat », la vraie démocratie, la « démocratie populaire… »

 

la véracité n'a jamais figurée au nombre des vertus politiques. Le secret, ou arcana imperii, les mystères du pouvoir, la tromperie, la falsification délibérée et le mensonge pur et simple ont toujours été employés comme moyens pour realiser des objectifs politiques.
Les réalités de notre vie quotidienne peuvent sans cesse être déchirées par des mensonges et des propagandes organisés. `Les hommes vivent dans un monde d'apparence. Dans ces conditions, les comportements hypocrites ne peuvent trouver leur réponse dans des conduites soi-disant raisonnables.'



16/03/2014
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 9 autres membres