LE ROLE DES FEMMES DANS LES ENTREPRISES DES DICTATEURS ET DES DES DESPOTES
QQUEL MAUVAIS GOUT POUR CES ASSASSINS QUI VONT PRIER DANS LES EGLISES ,DANS LES MOSQUEES ET DANS LES SYNAGOGUES NE ALONS PAS DES AUTRES SAGESSES DU MONDE ,.,¿¿¿¿¿¿
Elles s'appellent Nadia, Clara, Magda, Jiang Qing, Elena, Catherine, Mira,
Epouses, compagnes, égéries, admiratrices, elles ont en commun d'être à la fois amoureuses et triomphantes, trompées et sacrifiées, parfois jusqu'à la mort. A leurs hommes cruels, violents et tyranniques, elles font croire qu'ils sont beaux, charmeurs, tout puissants. Car la sexualité est l'un des ressorts du pouvoir absolu, et les dictateurs ont besoin d'enrôler les femmes dans leurs entreprises de domination. Diane Ducret raconte par le menu les rencontres, les stratégies de séduction, les rapports amoureux, l'intervention de la politique, et les destinées diverses, souvent tragiques, des femmes qui ont croisé le chemin et passé par le lit des dictateurs.
Depuis la faillite des alternatives au libéralisme, l'argent semble être passé dans nos sociétés du statut d'objet chaud à celui d'objet froid : il ne serait plus « tabou », l'évoquer publiquement ne serait plus une forme d'impudeur, son exhibition serait désormais légitime
Je n'ai pas été déçu parce qu'il m'a semblé avoir appris des choses. L'inflation, la déflation, le change, le rôle de l'or, les politiques économiques, tout cela m'est bien plus familier qu'il y a quelques jours encore ; ce sont comme des pièces d'un mécanisme dont je comprendrai enfin approximativement comment elles s'emboîtent, d'où l'impression d'accéder enfin à la logique d'ensemble. Ainsi, si une banque centrale baisse ses taux d'intérêts, elle favorise le crédit et donc l'accroissement de la masse monétaire en circulation. L'argent se fait moins rare, et les prix augmentent : c'est l'inflation, contre laquelle une hausse des taux d'intérêt, qui rend le crédit plus coûteux, conjuguée à un opération de vente de titres de l'Etat, qui absorbe une partie des réserves des banques, permettent de lutter. Sans doute, tout cela n'est valable que dans un certain contexte, celui de la parité-or, et c'est justement tout le mérite de l'auteur que nous montrer comment la gestion de l'argent par les Etats a pu évoluer dans le temps. En effet, Galbraith part de la banque de Law au XVIIIème et il nous tient par la main jusqu'au milieu des années 1990 : c'est un donc un vaste panorama qu'il nous donne à contempler.
Elles s'appellent Nadia, Clara, Magda, Jiang Qing, Elena, Catherine, Mira Epouses, compagnes, égéries, admiratrices, elles ont en commun d'être à la fois amoureuses et triomphantes, trompées et sacrifiées, parfois jusqu'à la mort. A leurs hommes cruels, violents et tyranniques, elles font croire qu'ils sont beaux, charmeurs, tout puissants. Car la sexualité est l'un des ressorts du pouvoir absolu, et les dictateurs ont besoin d'enrôler les femmes dans leurs entreprises de domination. ELLE raconte par le menu les rencontres, les stratégies de séduction, les rapports amoureux, l'intervention de la politique, et les destinées diverses, souvent tragiques, des femmes qui ont croisé le chemin et passé par le lit des dictateurs.
tout ce qui pèse et qui compte se veut et se dit " sans frontières ". Et si le sans-frontiérisme était un leurre, une fuite, une lâcheté ? Partout sur la mappemonde. et contre toute attente. se creusent ou renaissent de nouvelles et d'antiques frontières. Telle est la réalité. En bon Européen, je choisis de célébrer ce que d'autres déplorent : la frontière comme vaccin contre l'épidémie des murs, remède à l'indifférence et sauvegarde du vivant. D'où ce Manifeste à rebrousse-poil. qui étonne et détonne. mais qui, déchiffrant notre passé, ose faire face à l'avenir.
Je n'ai pas été déçu parce qu'il m'a semblé avoir appris des choses. L'inflation, la déflation, le change, le rôle de l'or, les politiques économiques, tout cela m'est bien plus familier qu'il y a quelques jours encore ; ce sont comme des pièces d'un mécanisme dont je comprendrai enfin approximativement comment elles s'emboîtent, d'où l'impression d'accéder enfin à la logique d'ensemble. Ainsi, si une banque centrale baisse ses taux d'intérêts, elle favorise le crédit et donc l'accroissement de la masse monétaire en circulation. L'argent se fait moins rare, et les prix augmentent : c'est l'inflation, contre laquelle une hausse des taux d'intérêt, qui rend le crédit plus coûteux, conjuguée à un opération de vente de titres de l'Etat, qui absorbe une partie des réserves des banques, permettent de lutter. Sans doute, tout cela n'est valable que dans un certain contexte, celui de la parité-or, et c'est justement tout le mérite de l'auteur que nous montrer comment la gestion de l'argent par les Etats a pu évoluer dans le temps. En effet, Galbraith part de la banque de Law au XVIIIème et il nous tient par la main jusqu'au milieu des années 1990 : c'est un donc un vaste panorama qu'il nous donne à contempler.
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