UN DESTIN COMMUN POUR UN AVENIR MEILLEUR

la malédiction des Arabes chrétiens.des palestiniens ;des afghans des somaliens ...mmais ou va l humanite

 

si les chretiens sont massacres je suis chretien si les palestiniens je suis palestinien ;si les juifs sont massacres je suis juif si les hommes et les femmes  ( 3 milliardsla moitie de la planete) qui croient  autres sagesses du monde je suis avec eux.tout simplement parceque la haine engendre la haine , la violence entraine la violence et le sang amene le sang ;

68  millions de morts pendant la deuxieme guerre mondiale, tous les genocides de la colonisation; la traite des noirs qui a fait de l ocean atlantique le plus grand cimetiere du monde. ou va l humanite,,,.....!!!!

13 juin 1978 dans les montagnes du Liban Nord. Depuis minuit, les unités de combat Kataëb, le parti phalangiste de la famille Gémayel, bouclent la région d'Ehden, un village de montagne au coeur du fief de la famille Frangié. 4 heures du matin : un coup de canon donne le signal de l'assaut. Maîtres d'oeuvre de " l'opération Cèdre ", les services secrets israéliens ont monté une opération secrète dans l'opération: persuader Béchir Gémayel d'en confier le commandement à Samir Geagea pour être sûrs d'atteindre les objectifs visés. Le député Tony Frangié, sa femme Véra et leur fille Jihane, trois ans, sont assassinés. Vingt-huit villageois sont tués. En éliminant un dirigeant chrétien de premier plan hostile à Israël, le Mossad vient d'inventer le concept d'" assassinat ciblé ". Il offre ainsi le pouvoir chrétien à Béchir Gémayel, portant à la présidence de la République libanaise une famille qui lui est favorable et à travers laquelle Tel-Aviv pourrait signer une paix séparée avec le Liban. Inaugurant une longue série de guerres interchrétiennes, la tuerie d'Ehden resserre le " noeud maronite " entre les phalangistes alliés à Israël et les Arabes chrétiens qui revendiquent leur pleine et entière appartenance au monde arabe. Trente ans plus tard, le noeud n'est pas desserré. Le général Aoun et Sleimane Frangié, le fils du député assassiné, incarnent l'avenir des Arabes chrétiens. Leur combat constitue un démenti au prétendu " choc des civilisations " qui voudrait voir s'affronter l'Occident et l'Orient.

Le bilan de la prise d’otages dans la cathédrale syro-catholique de Bagdad, dans le quartier de Karrada et dédiée à Notre-Dame du Perpétuel Secours, le dimanche 31 octobre, était de plus de 50 morts et autant de blessés le lundi 1er novembre. Parmi les morts : 35 fidèles qui assistaient à la messe, les 2 prêtres qui avaient été pris en otages et au moins 7 membres des force de sécurité. Un troisième prêtre a reçu une balle dans les reins. Les terroristes, au nombre peut-être d’une quinzaine, habillés en militaires, ont d’abord fait exploser deux voitures piégées devant la Bourse de la ville qu’ils ont tenté de prendre d’assaut, puis ils se sont repliés sur la cathédrale où ils avaient manifestement préparé leurs arrières avec des complices. C’était l’heure de la messe. Ils ont immédiatement tué deux paroissiens et pris les prêtres et les fidèles en otage, en blessant plusieurs qui tentaient de se cacher dans des pièces adjaçantes.

Les terroristes ont appelé la télévision irakienne « Al-Baghdadiya », déclarant faire partir de l’Émirat islamique en Irak, bras local d’Al-Qaïda, et en réclamant la libération de détenus emprisonnés en Irak et en Égypte en échange de la libération des catholiques avec un ultimatum de 48 heures. Ils ont menacé de faire sauter l’édifice en cas d’assaut des forces de l’ordre et ont blessé et tué plusieurs paroissiens. Mais l’armée irakienne, soutenue par une équipe de commandos américains, a lancé son assaut vers 20 h 50. Un terroriste a alors activé les explosifs de sa ceinture. Selon la police 5 terroristes ont péri et 8 suspects ont été arrêtés. Le vicaire épiscopal des syriaques catholiques, Mgr Pios Kasha, qui s’est rendu dans la cathédrale dévastée, a déploré, devant un représentant de l’AFP, « un vrai carnage ». «  Ce qui est certain, a-t-il ajouté, c’est que les membres de ma communauté vont tous quitter l’Irak  ». L’urgence de la situation des chrétiens en Irak a été l’un des éléments décisifs pour la convocation du récent synode pour le Moyen-Orient. Le message final a mentionné les « souffrances sanglantes du peuple irakien », et les «  chrétiens assassinés en Irak  », les «  souffrances permanentes de l’Église de l’Irak  » (n. 3.3).

Les Pères synodaux ont affirmé : «  Dieu veut que nous soyons chrétiens dans et pour nos sociétés moyen-orientales. C’est le plan de Dieu sur nous, et c’est notre mission et notre vocation que de vivre ensemble chrétiens et musulmans. Nous nous comporterons dans ce domaine guidés par le commandement de l’amour et par la force de l’Esprit en nous  » (3.4.). Les 44 “Propositions” finales mentionnent l’Irak, invitant au pèlerinage au pays d’Abraham.

La proposition 5 dit également : «  Il faudra attirer l’attention du monde entier sur la situation dramatique de certaines communautés chrétiennes au Moyen-Orient, qui souffrent de toutes sortes de difficultés, allant parfois jusqu’au martyre  ».

Cette proposition s’achève sur un appel : «  Il faut aussi demander aux instances nationales et internationales un effort spécial pour mettre fin à cette situation de tension, en rétablissant la justice et la paix.  » Le synode mentionne les martyrs « d’hier et d’aujourd’hui » (proposition 26), et souhaite une célébration commune des martyrs chrétiens (proposition 29).



02/01/2011
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