UN DESTIN COMMUN POUR UN AVENIR MEILLEUR

LA DEMOCRATIE DES INTEGRISTES DE TOUT BORD ET ILS SONT TOUS DU MEME BORD :UN PIEGA A CONS

   La démocratie reste-t-elle un modèle dans

 

 

Halte aux consensus mous, aux fausses évidences, à l'opposition stérile des experts! Bienvenue à tous ceux qui veulent se construire un avis, par eux-mêmes et pour eux-mêmes, impertinents et critiques,

le cirque électoral actuel, la confiscation du pouvoir que ce cirque autorise et entretient sous nos yeux, et enfin le régime d’élection ininterrompue dans lequel vit aujourd’hui le citoyen de démocraties épuisées

LA VICTOIRE RECENTEDES PARTIS ISLAMISTES EN EGYPTE ET EN TUNISIE PEUT ETRE COMPAREE A CELLE DU GENERAL DE GAULLE  DANS UNE FRANCE EN PLEINE REVOLTEE ESTUDIANTINE

LE POINT COMMUN?

CES SCRUTINS ONT ETE ORGANISES AFIN DE CASSERLE MOUVEMENT POPULAIRE;

DANS LES DEUX CAS CE SONT LES FORCES OBSCURANTISTES ET SOI DISANT CONSERVATRICESQUI ONT RECLAME DES ELECTIONS ANTICIPEES ETT INTERROMPRE UN SOULEVEMENT DU PEUPLEAVANT QU IL N AIT PU SE CONSOLIDER;PREUVE QUE L ELECTION EST L ENNEMIE DU PEUPLE REVOLUTIONNAIRE.

QUAND A TOUS ET TOUTES LES DOKTOURS ET ANALYSTES DE TOUT BORD ET ILS SONT TOUS ET TOUTES DU MEME BORD.

RIEN RIEN NE DIT QUE LA MAJORITE A TOUJOURS RAISON QU EN 1932 CE SONT LES ELECTEURS QUI ONT PORTE AU POUVOIR LE  NSDAP D ADOLF HITLER AVEC 38_ POUR CENT .L HUMANITE EN A PAYE LE PRIX TRES CHERE ; NO COMMENT.

Après la Seconde Guerre mondiale, les élites économiques européennes, affaiblies par leur collaboration avec l’Allemagne nazie, doivent faire profil bas. Aux États-Unis, la peur du communisme paralyse la société. Pendant trente ans, des deux côtés de l’Atlantique, les classes moyennes vont profiter de cette situation et prospérer. Mais à la fin des « Trente Glorieuses », les libéraux sentent que l’heure de la revanche a enfin sonné.
Pour imposer leurs idées, ils utilisent une arme rhétorique redoutable : TINA, le fameux acronyme thatchérien de « There is no alternative », qu’ils vont répéter et faire répéter par tous les médias jusqu’à ce qu’il soit entendu comme une vérité révélée. Il n’y a pas d’alternative au capitalisme, au marché, à la mondialisation, à la déréglementation financière, aux baisses de salaires, aux délocalisations, à la disparition des protections sociales, etc. Cette idéologie va infester les sociétés occidentales, provoquer le déclassement social du plus grand nombre et des profits gigantesques pour quelques-uns.
Une oligarchie confisque alors le pouvoir. Mais quand la crise financière de la fin des années 2000 met en péril sa fortune et son patrimoine, l’État recouvre soudain toutes ses vertus. Ceux qui hier le vilipendaient réclament son secours à grands cris. Il n’y a pas d’alternative, il faut sauver les banques ! Et pour renflouer les pertes abyssales de l’économie de casino, ce sont encore les plus démunis qui seront rançonnés, à commencer par les salariés.
Jusqu’à quand ?

De ces principes et de ces valeurs, nous avons aujourd'hui plus que jamais besoin. Il nous appartient de veiller tous ensemble à ce que notre société reste une société dont nous soyons fiers :  pas cette société où l'on remet en cause les retraites, les acquis de la Sécurité sociale, pas cette société où les médias sont entre les mains des nantis, toutes choses que nous aurions refusé de cautionner si nous avions été les véritables héritiers  du 1 NOVEMBRE 1954

 après un drame atroce,  «Un plan complet de Sécurité sociale, visant à assurer à tous les citoyens des moyens d'existence, dans tous les cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail» ; «une retraite permettant aux vieux travailleurs de finir dignement leurs jours.» Les sources d'énergie, l'électricité et le gaz, les charbonnages, les grandes banques sont nationalisées. C'est ce que ce programme préconisait encore, «le retour à la nation des grands moyens de production monopolisés, fruit du travail commun, des sources d'énergie, des richesses du sous-sol, des compagnies d'assurance et des grandes banques» ; «l'instauration d'une véritable démocratie économique et sociale, impliquant l'éviction des grandes féodalités économiques et financières de la direction de l'économie». L'intérêt général doit primer sur l'intérêt particulier, le juste partage des richesses créées par le monde du travail primer sur le pouvoir de l'argent. LE 1NOVEMBRE 1954 propose «une organisation rationnelle de l'économie assurant la subordination des intérêts particuliers à l'intérêt général et affranchie de la dictature professionnelle instaurée à l'image des États fascistes»,


C'est tout le socle des conquêtes sociales qui est aujourd'hui remis en cause.

la fabuleuse histoire de ce soulèvement des consciences.DE TUNIS  A L EGYPTE ET CE N EST PAS FINI

Une véritable démocratie a besoin d'une presse indépendante ; la Résistance le sait, l'exige, en défendant «la liberté de la presse, son honneur et son indépendance à l'égard de l'État, des puissances d'argent et des influences étrangères.» C'est ce que relaient encore les ordonnances sur la presse, dès 1944. Or, c'est bien ce qui est aujourd'hui en danger.

La Résistance en appelait à «la possibilité effective pour tous les enfants français de bénéficier de l'instruction la plus développée», sans discrimination ; or, les réformes proposées en 2008 vont à l'encontre de ce projet. De jeunes enseignants, dont je soutiens l'action, ont été jusqu'à refuser de les appliquer et ils ont vu leurs salaires amputés en guise de punition. Ils se sont indignés, ont «désobéi», ont jugé ces réformes trop éloignées de l'idéal de l'école républicaine, trop au service d'une société de l'argent et ne développant plus assez l'esprit créatif et critique.

C'est tout le socle des conquêtes sociales de la Résistance qui est aujourd'hui remis en cause.

Hannah Arendt, le totalitarisme et le monde contemporain. Trois dimensions de la réflexion se conjuguent ici pour éclairer la crise profonde du inonde moderne, plus que jamais actuelle. Le totalitarisme y est envisagé en lui-même, dans ses conditions de possibilité, mais surtout pour éclairer les problèmes de civilisation légués par le 20e siècle. Cet ouvrage fait aussi écho à l'œuvre de Hannah Arendt, véritable pensée du siècle, restée unique pour comprendre la crise de société dont le totalitarisme s'est si " terriblement occupé ". Enfin, il met en lumière le danger que prennent aujourd'hui la domination d'un impérialisme unicivilisationnel et le ressentiment antioccidental qui grandit dans son sillage. Prévu à l'origine pour coïncider paisiblement avec le cinquantenaire de la publication des Origines dit totalitarisme, cet ouvrage paraît en plein milieu d'une réorientation majeure de la politique mondiale sous la bannière de l'anti-terrorisme et devient pour ainsi dire d'actualité. Il est certain que ce monde qui s'ouvre porte en lui des réserves inépuisables de ressentiment qui, à la première occasion, se cristalliseront sous un mode totalitaire. Mais, à la différence du inonde où se sont développés les totalitarismes " archaïques ", l'impérialisme contemporain s'est donné un " programme " qui, niant la pluralité du Monde, porte en lui-même des virtualités totalitaires.

 Le système politique mis AU POINT PAR LES DICTATURES ARABES ne consiste pas en une simple radicalisation des méthodes dictatoriales. C'est un système entièrement original qui repose sur la transformation des classes en masses, fait de la police  POLITIQUE le centre du pouvoir et met en œuvre une politique economiqu

« Je préfère la politique qui part du cœur à celle qui part des slogans… Un électricien avec un grand cœur peut influencer l’histoire de toute une nation » écrivait Havel. Le portrait en creux de Lech Walesa est évident. Mais, interrogé sur cette citation, Havel ajoute, dans ce livre d’entretiens :

 

« Au cour des quinze dernières années, j’ai eu à l’infini des occasions de me convaincre combien, dans un système démocratique, il est important de concevoir la politique comme un réel service aux citoyens et non comme une technologie du pouvoir. Ce service doit être dans la mesure du possible désintéressé, basé sur certains idéaux, il doit respecter le principe moral qui est au-dessus de nous et doit prendre en considération les besoins récurrents du genre humain. Donc, il ne doit pas être un pouvoir qui veut plaire à un moment donné aux citoyens et qui n’est qu’un jeu d’intérêts particuliers ou de buts pragmatiques ne cachant en fin de compte qu’une seule chose : le désir de rester accroché à son fauteuil. Il va de soi que des théories philosophiques sur la politique et la volonté d’arriver à des objectifs politiques concrets ne sont pas du même ressort, je l’admets. Néanmoins, la politique ne doit jamais abdiquer devant de grandes idées, se passer du « cœur » et devenir une sorte de mouvement technocratique perpétu

e et sociale d a plat ventre DEVANT LE MARCHE LIBERAL. Animé par une logique de la déraison, il tend à la destruction complète de la société - comme de l'individu. Un classique de la théorie politique.

ce systeme politique tourne sur liu memer et n a besoin de personne et qelque soit le pouvoir de cette personne qu il soit president ou general?

 

 

 


21/07/2013
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