l islam est en danger ?il ne peut etre sauve que par les musulmans en acceptant l autre?et rien d autres .combattre tous et toutes lesintegristes de tout bord et ils sont tous et toutes du meme bord.
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La religion est-elle compatible avec la démocratie ? L’essai introductif, qui donne la grille de lecture à l’ensemble du livre, souligne le concept de « double tolérance » qui pose le principe de la différenciation et du respect mutuel entre autorité politique et autorité religieuse. Sont traités les religions extrême-orientales (confucianisme, hindouisme, bouddhisme), notamment avec les interventions du prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi et du dalaï-lama ; le christianisme et le judaïsme ; et enfin l’islam, avec entre autres la contribution de l’islamologue Bernard Lewis. Un ouvrage qui invite à la réflexion et à la discussion.
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Is religion compatible with liberal democracy? The book brings together insights from renowned scholars and world leaders. An essay outlines the concept of "twin tolerations" and differentiation, and creates a template that can be applied to all of the religion-democracy relationships analyzed throughout the volume. "Twin tolerations" means that there is a clear distinction and a mutual respect between political authorities and religious leaders and bodies. A country's ability to implement the principle of differentiation directly affects the successful development of democracy. Part two focuses on eastern religions -- Confucianism, Hinduism, and Buddhism -- and includes contributions from Nobel Prize winner Aung San Suu Kyi and His Holiness the Dalai Lama. The third part addresses democracy in relationship to Judaism and the three branches of Christianity -- Catholicism, Protestantism, and Eastern Orthodoxy. The volume's final section discusses what is perhaps the most challenging example of the struggling relationship between religion and democracy today: Islam and the governments of the Muslim nations. |
Libéral, Maurice Allais l’était. Défenseur du libre-fonctionnement des marchés dont il montrera l’efficience par l’équilibre entre l’offre et la demande, l’économiste était défavorable à toute entorse aux règles du marché concurrentiel comme la mise en place d’un salaire minimum. Soucieux du respect de la propriété privée, sa « réforme fiscale » visait à remettre le travail au centre en supprimant l’impôt sur le revenu et sur les profits des entreprises, et en maintenant une TVA élevée et un impôt sur le capital censé frapper l’épargne des plus riches. Bien qu’illusoires, ses considérations sur l’impôt rejoignent certains débats récents sur la fiscalité du capital ou sur le relèvement de la TVA pour pallier une baisse des cotisations sociales.
Immensément respectueux du travail et du mérite, Maurice Allais considérait les rentes du capital comme injustes car indépendantes de l’activité de son détenteur. Il se montrait en revanche peu favorable à certaines politiques visant à corriger les inégalités économiques et sociales. Certains économistes ne cesseront de lui reprocher d’avoir une approche élitiste de la société. D’autres retiendront comme message principal que l’efficacité économique n’est pas morale et que le fonctionnement optimal des marchés produit de l’inégalité.
Maurice Allais était pourtant sceptique quant aux bienfaits du libre-échange et au fonctionnement des marchés financiers. Il plaide en faveur d’une fédération européenne associée à une monnaie unique mais se méfie de la globalisation des marchés financiers et de la liberté de circulation des capitaux. Très marqué par la crise des années 1930, il pointe le rôle des banques et des établissements de crédits dans l’origine des crises : ceux-ci multiplient les crédits en période de croissance économique et créent donc des bulles et de l’inflation. Dans la lignée des monétaristes, Maurice Allais considère l’inflation comme un « mal suprême » qui fausse l’équilibre des marchés en modifiant les prix des biens et en diminuant artificiellement la valeur de l’endettement. Il était donc favorable aux politiques monétaires austères mais ne croyait pas à l’autorégulation du système financier.
Mais c’est probablement dans son analyse de la psychologie des individus que Maurice Allais retrouve toute son actualité. Très proche de Keynes dans son analyse des anticipations des agents économiques, il tentera de modéliser avec un succès mitigé les décisions psychologiques des individus en prenant en compte l’importance de la mémoire collective dans les décisions présentes. Nul ne doute que le facteur « mémoire » joue un rôle important dans les attaques spéculatives contre la zone euro : celle-ci est jeune, donc peu crédible en termes de politique économique et construite suite à la crise du système monétaire européen de 1992. Bien avant cette tentative de modélisation, son paradoxe remettant en cause l’hypothèse de rationalité des individus en situation d’incertitude aura ouvert des champs infinis de recherche en probabilités et en économie expérimentale. Ainsi, lorsque deux gains identiques sont présentés différemment, un individu préférera toujours le choix qui lui semble le plus protecteur et sécuritaire mais face à la ruine, il se montrera toujours optimiste. Une « euphorie financière » bien réelle avant la crise des subprimes.
Tantôt keynésien, tantôt monétariste, Maurice Allais restera un penseur non identifié de la science économique, ayant ouvert le pas à la formalisation de l’économie moderne.
Circus politicus révèle les dessous d’un véritable « putsch démocratique », une tentative de neutralisation du suffrage universel par une superclasse qui oriente la décision publique. Il montre
comment le Pouvoir a capitulé devant les puissances financières. Il dévoile les stratégies de double discours et d’hypocrisie mondialeentre . Histoires, anecdotes, preuves, documents… tout dans ce livre tend à démontrer que les Indignés ont raison de réclamer une « vraie
démocratie » ! Entrons dans ce Circus politicus où le peuple est jugé dangereux et la démocratie archaïque. Nous voici dans les réunions ultra secrètes des Conseils européens où tout se joue, dans les coulisses, dans de mystérieux clubs d’influence où les banquiers américains expliquent la vie à nos politiques, dans les officines et les bureaux d’agents secrets…
Le monde est sous la tutelle d’un pouvoir aveugle. La souveraineté, natinale n’est plus qu’une image pieuse entretenue par des « idiots utiles ». Une enquête inédite, iconoclaste qui fait surgir une réalité qu’il vaudrait mieux affronter plutôt que de la nier.
Circus politicus révèle les dessous d’un véritable « putsch démocratique », une tentative de neutralisation du suffrage universel par une superclasse qui oriente la décision publique. Il montre
comment le Pouvoir a capitulé devant les puissances financières.
Il est bien dans l'ordre des choses que le démantèlement du système économique d'après-guerre s'accompagne d'une attaque importante contre la démocratie effective - liberté, souveraineté populaire et droits de l'homme - sous la bannière de TINA, There Is No Alternative (il n'y a pas d'alternative). Ce slogan, inutile de le dire, n'est qu'une supercherie. L'ordre socio-économique particulier qu'on impose est le résultat de décisions humaines prises à l'intérieur d'institutions humaines. Les décisions peuvent être modifiées ; les institutions peuvent être changées. Si nécessaire, elles peuvent être renversées et remplacées, comme des gens honnêtes et courageux l'ont fait tout au long de l
... - Derrière une apparence de normalisation ", vous avez installé le règne de la peur, du mensonge et de la corruption à tous les niveaux. Vous assurez la ruine du pays en étouffant la création et en voulant, à terme, abolir toute mémoire collective, toute vie sociale autonome pour régner sur un peuple anesthésié et une société désintégrée. Cela, nous le refusons. » on appelle en conséquence ses concitoyens à revendiquer les droits de la conscience morale individuelle, à refuser le mensonge, à restaurer la responsabilité personnelle et la parole publique.tout l enjeu des prochaines elections presidentielles du mois d avril 2014
Les Centres hospitalo-universitaires de Constantine (Algérie) et de Strasbourg (France) viennent de renouveler une convention de partenariat qui les liait depuis 1999. MM. Benkhereddine Amar et Sakhri Abdelhamid, respectivement directeur général du CHU et président du Conseil scientifique, ont présidé la partie algérienne alors que du côté français, le directeur général du CHU de Strasbourg était assisté du directeur des relations internationales et du coordinateur médico-universitaire. Les deux doyens, constantinois et strasbourgeois des deux facultés de médecine, avaient également pris part à la signature de cette convention de partenariat. Cette dernière prévoit l'implication du CHU de Strasbourg dans la création de nouveaux services au CHUC, tels que la chirurgie cancérologique, vasculaire périphérique et endocrinienne (thyroïde), Constantine étant pour cette dernière pathologie, une zone d'endémie, ont indiqué jeudi dernier le directeur général du CHUC et le président du Conseil scientifique. Cette convention prévoit en outre la collaboration du CHU strasbourgeois dans les greffes d'organes, particulièrement celles du rein et du foie à propos desquelles un étouffement des équipes chirurgicales constantinoises est prévu. La coopération avec la CHU français s'étendra par ailleurs aux domaines de la génétique (caryotype et diagnostic prénatal) et de l'assistance médicale pour la procréation (AMP). Du côté de la Faculté de médecine, il est envisagé, dans le cadre de la même convention, l'amélioration de la formation des formateurs sur le plan pédagogique et la création d'un institut de pédagogie en sciences médicales, en vue d'un meilleur encadrement des étudiants, de la première année à la fin du cycle, soit sept années de formation. L'on apprend aussi que des professeurs strasbourgeois de renommée internationale sont disposés à co-encadrer des thèses de doctorat en médecine, selon des objectifs précis. Enfin, il a été décidé d'organiser une journée médico-chirurgicale internationale à Constantine, parrainée par les CHU de Constantine et de Strasbourg, octobre prochain, en vue de "consolider davantage le pont de coopération multiforme jeté entre les deux institutions hospitalières". Par ailleurs, le CHU de Constantine et la direction de la santé et de la population de la wilaya de Tamanrasset ont décidé de la signature d'une convention de jumelage. Une équipe constantinoise multidisciplinaire se trouve actuellement à Tamanrasset pour signer cette convention qui entre dans le cadre de la collaboration "Nord-Sud". Dans le même esprit, une proposition de jumelage émanant du CHU de Constantine a été formulée au secteur sanitaire de Biskra qui a qualifié le projet de "très bénéfique", dans une réponse écrite adressée au CHUC. D'autres conventions de durée indéterminée sont également prévues avec le CHU de Grenoble et de Paris au plan international et avec Ghardaïa et Ouargla, au plan national, a-t-on indiqué.
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