UN DESTIN COMMUN POUR UN AVENIR MEILLEUR

l ere du simonisme...

le capitalisme comme "une économie d'entreprise" qui a besoin du marché pour fonctionner et du profit pour s'épanouir. Mais cette concurrence est enserrée dans des phénomènes de domination, de pouvoir, d'inégalités et de rapports de forces qui n'ont pas grand-chose à voir avec la présentation idyllique des manuels.Pourquoi le capitalisme est-il né en Europe et non pas en Chine, pourtant civilisation de marchands ? Dans L'Éthique protestante et l'esprit du capitalisme, Max Weber propose de comprendre l'organisation capitaliste de l'économie à partir de l'analyse de ses éléments déterminants. Parmi ceux-ci, les motivations psychologiques ont constitué un facteur essentiel du triomphe du capitalisme moderne. Les convictions religieuses issues du luthéranisme et du calvinisme se sont en effet révélées un puissant levier pour la recherche rationnelle du profit. En valorisant des comportements tels que l'ascèse ou la productivité, elles ont promu un mode de vie favorable à l'essor du capitalisme. De même, le dogme de la prédestination, qui fait de la réussite temporelle le signe d'une élection divine, a, sans conteste, contribué à faire du travail et de l'enrichissement de nouvelles valeurs morales sans lesquelles l'économie de marché n'aurait pu s'installer durablement en Europe.

Pourquoi le capitalisme est-il né en Europe et non pas en Chine, pourtant civilisation de marchands ? Dans L'Éthique protestante et l'esprit du capitalisme, Max Weber propose de comprendre l'organisation capitaliste de l'économie à partir de l'analyse de ses éléments déterminants. Parmi ceux-ci, les motivations psychologiques ont constitué un facteur essentiel du triomphe du capitalisme moderne. Les convictions religieuses issues du luthéranisme et du calvinisme se sont en effet révélées un puissant levier pour la recherche rationnelle du profit. En valorisant des comportements tels que l'ascèse ou la productivité, elles ont promu un mode de vie favorable à l'essor du capitalisme. De même, le dogme de la prédestination, qui fait de la réussite temporelle le signe d'une élection divine, a, sans conteste, contribué à faire du travail et de l'enrichissement de nouvelles valeurs morales sans lesquelles l'économie de marché n'aurait pu s'installer durablement en Europe.

De la dissidence à la présidence, Vàclav Havel n’a jamais cessé d’être un écrivain et un philosophe. De ces derniers textes parviennent les accents d’une voix prophétique. C‘est à partir de son expérience de chef d’État confronté à la montée des nationalismes et à la chute du communisme, avec en mémoire ses années d’emprisonnement et d’interdiction de parole, que Vàclav Havel réfléchit sur cette fin de millénaire troublée. Devant la mondialisation de l’économie et la perte de confiance dans les élites au pouvoir, trop corrompues ou trop impuissantes, il nous exhorte à nous tenir en éveil et à nous porter responsables. «N’oublions pas de penser l’Être ou bien le règne de l’avoir et la déshumanisation qui l’accompagne feront de nous les héritiers d’un monde voué à la seule survie technique»

1- nous vivons sur une petite planète qui se trouve, pour la première fois de son histoire, embrassé par une civilisation unique, créée par l'éclatement du monde bipolaire en univers multipolaires

2- les destins de milliards d'hommes se fondent en un seul destin

3- chaque danger qui menace le monde devient un danger global

4- il y a une possibilité de guerre entre diverses sphères de civilisation, de culture ou de religion

5- la civilisation qui nous rapproche et nous uniformise ravive les traditions culturelles ou religieuses qui défendent leur singularité

6- il se produit donc un processes inverse d'autodéfense

7- donc, quel ordre mondial bâtir pour prévenir les conflits

8- un ordre qui se référence aux éléments communs aux civilisation : transcendance du miracle de la vie, ancrage de l'homme dans sa certitude terrestre et cosmique

une science économique qui, empêtrée dans ses préceptes, refuse de voir et de prendre en compte l'état du monde. Ainsi, elle nous empêche aussi d'en saisir l'ensemble des délabrements. Or il craint que, si les forces du marché se développent sans entrave, et si des résistances ne se développent pas, un capitalisme débridé devienne la forme dominante d'organisation économique sur le plan mondial.

la «pensée unique» économique, et réclame une alternative, à l'endroit où d'autres affirment qu'il n'en existe aucune.

                                  



21/01/2011
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 9 autres membres