UN DESTIN COMMUN POUR UN AVENIR MEILLEUR

il est a l agonie,,,,

La communauté internationale a célébré la Journée mondiale de lutte contre la corruption adoptée par une résolution de l’Assemblée générale des Nations unies en 2009 et classe l'Algérie au 105e rang mondial du degré de perception de la corruption. Algérie degré de perception de la corruption 2012L'Algérie arrive au 105e rang du classement international 2012 du degré de perception de la corruption -juste après la Tanzanie- avec un score de 34%, selon un rapport publié mercredi par l'organisation non gouvernementale Transparency International, à Berlin, en Allemagne. Un classement, qui regroupe 175 pays, où la Tunisie et le Maroc occupent respectivement la 75e et la 88e place. Le Danemark et la Finlande arrivent à égalité au premier rang des pays les plus intègres avec un score de 90%, tandis que la Somalie, la Corée du Nord et l'Afghanistan sont perçus comme les plus corrompus avec des scores égaux de 8%. Les États-Unis sont de retour parmi les 20 pays considérés comme « propres » par l'organisation non gouvernementale, se classant au 19e rang. Le pays était sorti pour la première fois du groupe des 20 États les mieux classés en 2010, notamment en raison de scandales financiers. Après avoir eu des scores de 29% pour les années 2010 et 2011, l'Algérie a gagné quelques points aux côtés des pays les plus vertueux. Le classement est établi à partir de données recueillies au début de 2012 par 13 institutions internationales, dont la Banque mondiale, les banques asiatique et africaine de développement et le Forum économique mondial. L'indice de la perception de la corruption (IPC) est compris entre 0 pour un pays considéré comme « hautement corrompu » et 100 pour un pays « très vertueux » À la chute du mur de Berlin en 1989, le capitalisme triomphait. Vingt ans plus tard, il est à l’agonie. Qu’a-t-il bien pu se passer entre-temps ? Une explication possible est que le capitalisme a été atteint du même mal qui venait de terrasser son rival, et la complexité devrait alors être incriminée : l’organisation des sociétés humaines atteindrait un seuil de complexité au-delà duquel l’instabilité prendrait le dessus et où, sa fragilité étant devenue excessive, le système courrait à sa perte. Une autre explication serait que le capitalisme avait besoin de l’existence d’un ennemi pour se soutenir. En l’absence de cette alternative, ses bénéficiaires n’auraient pas hésité à pousser leur avantage, déséquilibrant le système entier. Autre explication possible encore : du fait du versement d’intérêts par ceux qui sont obligés d’emprunter, le capitalisme engendrerait inéluctablement une concentration de la richesse telle que le système ne pourrait manquer de se gripper un jour ou l’autre. Entre ces hypothèses, il n’est pas nécessaire de choisir : les trois sont vraies et ont conjugué leurs effets dans la première décennie du xxie siècle. Cette rencontre de facteurs mortifères explique pourquoi nous ne traversons pas l’une des crises habituelles du capitalisme, mais sa crise majeure, celle de son essoufflement final, et pour tout dire celle de sa chute. Je suis pour le communisme Je suis pour le socialisme Et pour le capitalisme Parce que je suis opportuniste Il y en a qui conteste Qui revendique et qui proteste Moi je ne fais qu'un seul geste Je retourne ma veste, je retourne ma veste Toujours du bon côté Je n'ai pas peur des profiteurs Ni même des agitateurs Je fais confiance aux électeurs Et j'en profite pour faire mon beurre Il y en a qui conteste Qui revendique et qui proteste Moi je ne fais qu'un seul geste Je retourne ma veste, je retourne ma veste Toujours du bon côté Je suis de tous les partis Je suis de toutes les patries Je suis de toutes les coteries Je suis le roi des convertis Il y en a qui conteste Qui revendique et qui proteste Moi je ne fais qu'un seul geste Je retourne ma veste, je retourne ma veste Toujours du bon côté Je crie vive la révolution Je crie vive les institutions Je crie vive les manifestations Je crie vive la collaboration Non jamais je ne conteste Ni revendique ni ne proteste Je ne sais faire qu'un seul geste Celui de retourner ma veste, de retourner ma veste Toujours du bon côté Je l'ai tellement retournée Qu'elle craque de tous côtés A la prochaine révolution Je retourne mon pantalon comment les inégalités ont ainsi prospéré dans le monde depuis près de 20 ans. Et pourquoi ces tels écarts de richesses entre les plus riches et les plus pauvres sont à la fois inacceptables socialement et extrêmement dangereux économiquement. De même contrairement à la doxa libérale qui prétend que l'argent ruisselle spontanément des plus riches vers les plus pauvres, la richesse s'est concentré en un glacis détenu pour l'essentiel par 1% des habitants du globe. un système économique mondial qui, s'il n'est pas profondément réformé, risque l'effondrement. Face à la crise globale du capitalisme, on voit désormais le FMI, des gouvernements ou des économistes célèbres brûler ce qu'ils ont adoré - le marché - et réhabiliter l'Etat qu'ils honnissaient. Nous vivons en fait l'amorce d'une "démondialisation". L'histoire, la politique et les nations reprennent leurs droits avec le retour des Etats, que l'on disait naguère impuissants, et le recul des marchés, que l'on prétendait omniscients. Ce mouvement réveille de vieilles peurs. Et si cette démondialisation annonçait le retour au temps des guerres ? Ces peurs ne sont que l'autre face d'un mensonge qui fut propagé par ignorance et par intérêt. Non, la mondialisation ne fut pas, ne fut jamais "heureuse". Le mythe du "doux commerce" venant se substituer aux conflits guerriers a été trop propagé pour ne pas laisser quelques traces... Mais, à la vérité, ce n'est qu'un mythe. Les puissances dominantes ont en permanence usé de leur force pour s'ouvrir des marchés et modifier comme il leur convenait les termes de l'échange. Dans ce fétichisme de la mondialisation, il y eut beaucoup de calculs et de mensonges. Il faut donc établir le vrai bilan de cette mondialisation - de ses apports et de ses méfaits - pour penser rigoureusement la phase suivante qui s'ouvre. Ce livre propose précisément les voies d'une démondialisation pensée et ordonnée par une nouvelle organisation du commerce et des relations financières internationales


04/12/2013
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