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Dix cas de victimes de la bactérie E. coli et ayant séjourné ou résidant en Allemagne ont été signalés en France, annonce vendredi l'Institut national de veille sanitaire.
L'épidémie due à la bactérie E. coli, révélée il y a six jours, a fait 19 morts en Allemagne et un mort en Suède. Plus de 1.700 personnes sont tombées malades.
En France, 9 des personnes présentant des symptômes sont âgés de 16 à 55 ans et l'une est un adolescent de 14 ans. Quatre sont des femmes et six des hommes, précise l'INVS. Aucune des victimes signalées en France n'est décédée.
L'un des cas est une touriste allemande qui était en France au moment de l'apparition des symptômes, 2 cas sont des Français résidant habituellement en Allemagne et 7 cas sont des Français ayant séjourné en Allemagne en mai 2011.
Le concombre a été dans un premier temps incriminé par les Allemands comme la cause de l'apparition de l'épidémie avant d'être mis hors de cause.
Les autorités sanitaires n'ont toujours pas déterminé la source de l'épidémie.
[L'EXPLICATION] Selon l'OMS, les téléphones portables, mais aussi les petits légumes au vinaigre seraient cancérogènes.
Le 31 mai, l'Organisation mondiale de la santé a intégré les téléphones portables à sa liste de produits «potentiellement cancérogènes». Ils figurent désormais dans la même catégorie que le très controversé DDT, les gaz d'échappement et les pickles, ces petits légumes macérés dans du vinaigre (cornichons, carottes, chou-fleur, etc.).
Comment ça, les pickles donneraient le cancer?
Ce n'est pas une blague. Il y a cinquante ans, des hôpitaux chinois ont décidé de surveiller systématiquement les cas de cancer. Ils ont constaté, dans certaines régions, des taux extraordinairement élevés de carcinome épidermoïde de l'oesophage (cancer des cellules qui tapissent l'oesophage).
Les épidémiologistes se sont aperçus que les habitants de cette région consommaient beaucoup de légumes fermentés en temps de pénurie de légumes frais. Les chercheurs pensent alors avoir démasqué les coupables: les champignons microscopiques qui sont à l'origine de la fermentation. Dans le cadre de leur cycle biologique naturel, ces micro-organismes dégagent diverses substances potentiellement cancérogènes.
Les médecins ont maintes et maintes fois tenté d'étayer le risque sanitaire des pickles; leurs résultats sont mitigés. Mais dans l'ensemble, ce lien de cause à effet semble bien exister. Selon les conclusions d'un examen des études existantes réalisé en 2009 dans toute l'Asie, la consommation régulière de petits légumes au vinaigre double pratiquement le risque de cancer de l'oesophage.
Depuis la découverte de cette possible corrélation, les chercheurs incriminent nos pauvres petits pickles dans d'autres cas de cancer.
Par exemple, les cancers de l'estomac sont inhabituellement fréquents en Corée du Sud et au Japon. Or on sait que les habitants de ces deux pays mangent de grandes quantités de légumes «anti-cancer»
- Dix-sept personnes seraient tombées malades après avoir pris leur repas dans un restaurant de Lübeck, dans le nord de l'Allemagne, une piste qui pourrait aider à déterminer la source de l'épidémie provoquée par la bactérie E. coli qui a fait 19 morts en Europe.
Des touristes danois et un groupe de responsables allemands des impôts font partie des 17 personnes intoxiquées, rapporte le journal Lübecker Nachrichten.
"J'ai reçu comme un coup de massue sur la tête lorsque j'ai appris la nouvelle", a confié à Reuters Joachimm Berger dans la cuisine de son établissement dont, a-t-il précisé, aucun membre du personnel n'a été contaminé.
"Le restaurant n'est pas responsable", estime Werner Solbach, microbiologiste au centre médical universitaire de Shleswig-Holstein. "Cependant la chaîne de livraison des aliments pourrait nous permettre de savoir comment le virus s'est propagé."
Les autorités allemandes ne sont pas encore parvenues à identifier la source exacte de la bactérie qui a d'ores et déjà tué au moins 19 personnes en Europe et intoxiqué plus de 1.700 personnes dans douze pays.
La quasi-majorité des victimes sont des personnes qui résident dans le nord de l'Allemagne ou qui s'y sont récemment rendues au cours de la période d'incubation, soit trois à quatre jours, ou encore qui ont eu un contact avec une personne venue du nord du pays.
Le groupe de responsables des impôts, venus assister à une réunion syndicale, a mangé au restaurant le 13 mai, a dit un Reuters un responsable syndical. Une femme du groupe est morte après avoir contracté l'E. coli. Selon le Lübecker Nachrichten, les 17 personnes intoxiquées ont toutes mangé dans le restaurant en question entre le 12 et le 14 mai.
Mais, a fait valoir Berger, les inspectrices du fisc qui ont mangé dans son établissement avaient consommé à la carte et, étant en ville depuis plusieurs jours, ont pris des repas ailleurs.
Les inspecteurs de la santé qui ont inspecté le restaurant de Berger la semaine dernière n'ont rien trouvé, a-t-il dit. Ils attendent néanmoins lundi le résultat d'autres tests.
La bactérie incriminée produit des shigatoxines pouvant entraîner des manifestations cliniques variées (diarrhée banale ou sanglante) qui peuvent évoluer vers une complication grave: le syndrome hémolytique et urémique (SHU), qui a déjà été diagnostiqué sur plusieurs centaines de patients.
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