apres aBdelhamid la science nous y voila avec OUYAHIA LA SUFFISANCE: l ignorant qui ignore son ignorance
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Ainsi, quel qu'en soit le type, la dictature est par essence une institution destinée à faire face à l'état d'exception. Et si le libéralisme hésite devant cette «solution», si radicale, c'est justement parce qu'il ne veut pas entendre parler d'état d'exception, ni de souveraineté. Il postule en effet une constitution qui limite la puissance de l'Etat et est censée prévoir tous les cas.
« Un homme sage prend ses propres décisions, un homme ignorant suit l'opinion publique. »
Plus je vieillis et plus je croîs en ignorance,
plus j'ai vécu, moins je possède et moins je règne.
Tout ce que j'ai, c'est un espace tour à tour
enneigé ou brillant, mais jamais habité.
Où est le donateur, le guide, le gardien« Le comble de l'orgueil, ou de l'abjection, est le comble de l'ignorance de soi-même. »
État de celui qui n'a pas conscience (d'un trait psychologique ou de caractère, d'une aptitude). Personne n'a vécu, n'a souffert, n'est mort aussi simplement et dans une ignorance aussi profonde de sa propre dignité
Ignorance est mère de tous les maux. »
Si l'ignorant savait, il comprendrait que ce qu'il ignore le concerne....oh oui il pourrait voir les mensonges et pourrait voir que il y a quelque choses qui se préparent et que le troupeau se dirige vers l'abaTtoir.....je ne suis pas ici pour peindre la page blanche des ignorants de la couleur que je veut qu'ils soient...non...je suis ici pour leurs donner un pinceau et leur dire ''connais toi toi-même''
Mais dans se monde tu as des gens qui s'élèvent de la foule, du troupeau....je sais bien qu'il ne peu y avoir que des bergers....il y aura toujours des moutons...
Le comble de l'orgueil, ou de l'abjection, est le comble de l'ignorance de soi-même. »
l'ignorant ignore que ce qu'il ignore le concerne....il ignore que la société le peint de la couleur qu'il l'a voulu pour qu'il soit un produit contrôlable...
Ainsi, quel qu'en soit le type, la dictature est par essence une institution destinée à faire face à l'état d'exception. Et si le libéralisme hésite devant cette «solution», si radicale, c'est justement parce qu'il ne veut pas entendre parler d'état d'exception, ni de souveraineté. Il postule en effet une constitution qui limite la puissance de l'Etat et est censée prévoir tous les cas.
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