ALGERIE:que de temps et d efforts perdus ......POUR RIEN??? Un monstre plus insatiable que la guillotine
SANTE - Le Premier ministre veut éviter une médecine «à deux vitesse. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a plaidé vendredi à Grenoble pour «une réforme
Grenoble
Centre hospitalier universitaire Benbadis CHUC |
Santé Le centre hospitalier de Grenoble
La coopération entre les deux centres hospitalo-universitaires de Constantine et de Grenoble, dans le cadre d'un programme d'échanges multidisciplinaires, vient de connaître un prolongement, concret, profitable aux deux parties. En effet, à la suite d'un court séjour de cinq jours à Grenoble, du directeur du CHU de Constantine, Zermane Selim, accompagné du professeur Abdelhamid Sakhri, président du conseil scientifique et du professeur Mostepha Haddad, chef du service de médecine du travail, un premier objectif a fait l'objet d'un accord, dont l'application interviendra dans les tout prochains mois. La partie française composée du directeur du CHU de Grenoble J.P. Bastard ainsi que du président de la commission médicale J.P. Chirossel, est disposée, selon nos sources, à accueillir des résidents du CHU de Constantine à Grenoble comme internes, dans différentes spécialités et pour une période d'une année. Il faudra savoir, nous précise-t-on que les médecins constantinois sélectionnés, seront pris en charge, totalement, par le CHU de Grenoble et seront rémunérés, comme leurs collègues internes français. Cette initiative, faut-il le préciser, relève d'un accord qui a été motivé par le CHU de Grenoble, par un "manque d'internes", dans certains services de cette institution hospitalière. C'est d'ailleurs ainsi, que le directeur du CHU de Constantine Selim Zermane résume cet accord: "les résidents constantinois pourraient, à la fois, être de précieux auxiliaires pour Grenoble tout en étant à bonne école". Cependant, le jumelage entre le CHU de Constantine et celui de Grenoble ne se résume pas à ce seul accord. Car, dans une déclaration solennelle de coopération, les deux parties se sont assignées d'autres objectifs. Comme l'organisation générale de l'administration et la gestion des établissements et des services, la contribution à la formation médicale, l'acquisition et le perfectionnement des techniques médicales, la contribution à la formation et le perfectionnement des personnels paramédical, administratif et technique et enfin la documentation technique. Pour atteindre ces objectifs, les deux parties ont convenu de recourir, notamment, aux missions de courte durée (information expertise, assistance technique) des personnels administratif et technique. Mais pas seulement. Car, il y a aussi le recours à des missions d'assistance pédagogique, à l'organisation, en commun, de manifestations scientifiques, colloques, séminaires et ateliers de travail. Autant qu'à l'échange de documents et d'informations, ainsi qu'au partenariat dans le domaine de la recherche. Le directeur du CHU de Constantine, invité à commenter ce jumelage a dit en substance, que celui-ci permettra certainement de "combler les insuffisances et participera à travers l'échange d'expériences à la mise en oeuvre d'une coopération efficiente". Il constituera certainement, a ajouté Selim Zerman, "un espace de solidarité humaine et nous permettra de jeter les passerelles entre les deux rives de la Méditerranée
La coopération entre les deux centres hospitalo-universitaires de Constantine et de Grenoble, dans le cadre d'un programme d'échanges multidisciplinaires, vient de connaître un prolongement, concret, profitable aux deux parties. En effet, à la suite d'un court séjour de cinq jours à Grenoble, du directeur du CHU de Constantine, Zermane Selim, accompagné du professeur Abdelhamid Sakhri, président du conseil scientifique et du professeur Mostepha Haddad, chef du service de médecine du travail, un premier objectif a fait l'objet d'un accord, dont l'application interviendra dans les tout prochains mois. La partie française composée du directeur du CHU de Grenoble J.P. Bastard ainsi que du président de la commission médicale J.P. Chirossel, est disposée, selon nos sources, à accueillir des résidents du CHU de Constantine à Grenoble comme internes, dans différentes spécialités et pour une période d'une année. Il faudra savoir, nous précise-t-on que les médecins constantinois sélectionnés, seront pris en charge, totalement, par le CHU de Grenoble et seront rémunérés, comme leurs collègues internes français. Cette initiative, faut-il le préciser, relève d'un accord qui a été motivé par le CHU de Grenoble, par un "manque d'internes", dans certains services de cette institution hospitalière. C'est d'ailleurs ainsi, que le directeur du CHU de Constantine Selim Zermane résume cet accord: "les résidents constantinois pourraient, à la fois, être de précieux auxiliaires pour Grenoble tout en étant à bonne école". Cependant, le jumelage entre le CHU de Constantine et celui de Grenoble ne se résume pas à ce seul accord. Car, dans une déclaration solennelle de coopération, les deux parties se sont assignées d'autres objectifs. Comme l'organisation générale de l'administration et la gestion des établissements et des services, la contribution à la formation médicale, l'acquisition et le perfectionnement des techniques médicales, la contribution à la formation et le perfectionnement des personnels paramédical, administratif et technique et enfin la documentation technique. Pour atteindre ces objectifs, les deux parties ont convenu de recourir, notamment, aux missions de courte durée (information expertise, assistance technique) des personnels administratif et technique. Mais pas seulement. Car, il y a aussi le recours à des missions d'assistance pédagogique, à l'organisation, en commun, de manifestations scientifiques, colloques, séminaires et ateliers de travail. Autant qu'à l'échange de documents et d'informations, ainsi qu'au partenariat dans le domaine de la recherche. Le directeur du CHU de Constantine, invité à commenter ce jumelage a dit en substance, que celui-ci permettra certainement de "combler les insuffisances et participera à travers l'échange d'expériences à la mise en oeuvre d'une coopération efficiente". Il constituera certainement, a ajouté Selim Zerman, "un espace de solidarité humaine et nous permettra de jeter les passerelles entre les deux rives de la Méditerranée
laboratoire de microbiologie du CHU de Strasbourg
vue depuis le dôme de l'hôpital civil, bâtiment d'histologie
... hopital civiL, à droite le bâtiment d'histologie
What can be expected from the cytologic examination of cervicovaginal smears for the diagnosis of Chlamydia trachomatis infections?
Source
Laboratories of Histology, Faculty of Medicine, Louis Pasteur University, Strasbourg, France.
Abstract
The value of Papanicolaou-stained smears for the diagnosis of chlamydial infections is still disputed. A comparative examination of smears from infected and uninfected women has allowed the proposal of a new scheme for the interpretation of the cytologic abnormalities associated with chlamydial infection. In particular, the appearances of metaplastic cells were classified, and two smear types were found to have the highest sensitivities and positive predictive values: smears in which the metaplastic cells had (1) intracytoplasmic vacuoles containing polymorphonuclear leukocytes or (2) numerous small intracytoplasmic vacuoles containing a central eosinophilic granule. The sensitivity of this method is low, however; cytology cannot replace bacteriologic identification for the diagnosis of chlamydial infections. Nevertheless, the examination of Papanicolaou-stained smears could be considered as a screening tool in low-risk populations; provided that all of the cytologic features were considered, presumptive diagnoses of chlamydial infections could be obtained.
- PMID:
- 3201874
- [PubMed - indexed for MEDLINE]
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Genitourin Med. 1991 June; 67(3): 256–266.PMCID: PMC1194684
Laboratory techniques for the diagnosis of chlamydial infections.
See letter "Laboratory techniques for the diagnosis of chlamydia infections." on page 522.This article has been cited by other articles in PMC.Abstract
Yolk-sac inoculation of embryonated eggs was superseded 25 years ago by the use of cell cultures (often McCoy) for the isolation of Chlamydia trachomatis. Centrifugation of specimens onto the cell monolayers was shown to increase sensitivity, but little of late has further improved sensitivity which is at least ten-fold greater than that of eggs. However, culture is slow and labour intensive so that non-cultural techniques without these drawbacks have come to dominate. Direct fluorescent antibody (DFA) tests are rapid and have sensitivities that range from 70% to 100% for men and 68% to 100% for women, and specificities that range from 87% to 99% for men and 82% to 100% for women; if the tests are read by competent observers the values are at the top end of the ranges. The detection rate may be enhanced even further by relatively low-speed centrifugation of specimens before staining. Skilled reading is not a feature of enzyme immunoassays (EIAs) which according to the literature have sensitivities that range from 62% to 97% for men and 64% to 100% for women, and specificities that range from 92% to 100% for men and 89% to 100% for women. However, comparison against poor reference tests is responsible for most of the higher values and the clinician should not be misled into believing that EIAs have excellent sensitivity; the lower values in the ranges are closer to reality. Furthermore, EIAs that are being designed for use by general practitioners should be regarded with the greatest caution since lack of sensitivity means that chlamydia-positive patients will go undetected. The polymerase chain reaction (PCR) is not bedevilled by insensitivity but it is no more sensitive than the most sensitive cell culture or DFA tests. PCR is unsuitable for routine diagnosis but has a place as a research tool. For men, examination of "first-catch" urine samples by the best of the non-cultural procedures provides an acceptable non-invasive approach to diagnosis; for women, the value of examining urine may be less, but needs to be thoroughly tested. However, there is little doubt that a Cytobrush used to obtain cervical specimens holds no practical advantage over a swab. Serological tests are reliant on the provision of paired sera for making a diagnosis; high antibody titres in single sera may be suggestive of an aetiological association in deep-seated chlamydial infections (epididymitis, arthritis, salpingitis, etc), but unequivocal interpretation is unusual, particularly in an individual case, since the distinction between a current and past infection is problematical.
- Lees MI, Newnan DM, Plackett M, Traynor PW, Forsyth JR, Garland SM. A comparison of cytobrush and cotton swab sampling for the detection of Chlamydia trachomatis by cell culture. Genitourin Med. 1990 Aug;66(4):267–269. [PMC free article] [PubMed]
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Chlamydia trachomatis infection and risk of cervical intraepithelial neoplasia
Matti Lehtinen, Kevin A Ault, [...], and for the FUTURE I and II Study Group
Abstract
Objectives
High-risk human papillomavirus (hrHPV) is the primary cause of cervical cancer. As Chlamydia trachomatis is also linked to cervical cancer, its role as a potential co-factor in the development of cervical intraepithelial neoplasia (CIN) grade 2 or higher was examined.
- Un monstre plus insatiable que la guillotine »
- Je me suis surpris à penser au cancer comme un personnage vivant depuis 4000 ans, m’interrogeant sur ses origines, ses pensées, sa personnalité, sa psyché
- aradoxalement, la visibilité grandissante du cancer est une bonne nouvelle. Elle est liée à l’amélioration de l’espérance de vie, explique en substance le docteur Mukherjee. Maladie de l’âge mûr, le cancer n’avait pas marqué les esprits collectivement dans les précédents siècles, car les gens alors mouraient tôt d’épidémies diverses. Dans le monde développé en général, la victoire contre les maladies telles que la peste, la variole, le typhus ou la tuberculose a permis de prolonger l’espérance de vie, tout en exposant les gens à d’autres maux. Aujourd’hui, aux Etats-Unis, la moyenne d’âge des patientes atteintes de cancer du sein est de 61 ans ; elle est de 67 ans pour les patients souffrant de cancer de la prostate ; et de 70 ans pour les malades atteints de cancer du côlon. Plus visible, le cancer est devenu la maladie qui definit notre generation
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