UN DESTIN COMMUN POUR UN AVENIR MEILLEUR

a toutes les femmes

 

À une femme, je dois l’idée de culture,de l’unicité de toutes les histoires humaines, impossibles à répéter à chaque latitude et longitude. Que la vie est une résistance continue. D’être infiniment délicat, jamais individualiste, à pas donner jamais rien pour escompté et à ne pas prévoir insignifiants sentiments.Que les paroles, circulantes comme sang dans le corps, portent oxygène, nourriture, renouvellement de la vie. Que l’amour est intimité, complicité, respect haut, écoute intense, refus de tout ce qui est vulgaire, médiocre, bas. Que l’amour est toujours un visage qui s’approche à un autre visage, des yeux émus qui si noient dans d’autres yeux émus,des bras hésitants qui cherchent d’autres bras hésitants, comme la beauté de deux enfants lors de leur première rencontre amoureuse.

 

À une femme je dois mille réflexions, dont qui ne faut jamais perdre la curiosité et garder la saison de l’adolescence pour se considérer homme. Je dois la thèse, toujours à expérimenter, qu’un homme est un homme, qu’il est fait de générosité et d’égoïsme, de courage et de faiblesse, de logique et d’incohérence. Je dois l’idée de bonheur.Je dois l’idée d’utopie, de l’harmonie, du respecte des hérétiques, des minorités, de l’humanisme de l’autre homme, de la diversité comme expérience que nous nous traverses. Du défi avec le temps: l’avenir désirable pour nous et nos fils; le passé des consignes et des espoirs des pères.Le désir de créer un monde et sociétés nouvelles,de la liaison entre le rêve et la raison, du pacte qui serre poésie et utopie dans le désir de l’éternité.

                                        



09/12/2010
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